"L'avantage de la radio sur le cinéma, c'est qu'à la radio l'écran est plus large." Orson WELLES. _________<<<——<< média tout culturel poético-philosophique >>——>>>_________
Michael WEIDEN sera votre Super Mario de CBD, non seulement en terme de connaissances, de fournitures et suivants les gouts ! Car votre humble narrateur, n’y connaissant rien en matière de weeds, alors il a mené l’enquête totale… La loi de 70, l’Égypte, Napoléon, Jack Herer. Passons tout au crible.
C’était un premier décembre, total, totem, reportage brut, bisou merci bisous. 1er décembre 2022 à Pont-à-Mousson. France.
Reportage brut avec Michael WEIDEN, Dodgy, Tryo, Jimi Hendrix, Deep Purple, Polémix la voix off…
Les anciens étudiants d’Histoire de l’art de Besançon, par exemple, connaissent par étude en amphi, le fameux retable d’Issenheim, signé Matthias Grünewald. Celui-ci est hébergé à Colmar au musée Unterlinden, récemment rénové. Mais votre humble narrateur a eu le privilège de rencontrer et épouser la ville d’Issenheim dernièrement, en février, et y a croisé Frère Jacques, aux lumières intarrissables. Résultat une visite des édifices religieux de la bourgade du Haut-Rhin, quelques photos et bons mots.
« JOSEPH, CHASTE époux ! »
A savoir l’album ci-dessous de cette journée du 26 février 2019 se présente de manière dé-chronologique… qui fut visite au couvent [des Antonins / Maison Saint-Michel] jésuite où fut créé et exposé sur l’actuel parvis (ancienne nef) le retable… édifice détruit puis reconstruit à l’inverse des orientations Est-Ouest traditionnelles, que Saint-Antoine (« le Grand ») fut un moine (fondateur de l’idée monacale) du désert, les tentations de Saint-Antoine seraient un sujet philosophique religieux, tout ceci vous le découvrez en liens…, puis à l’église d’Issenheim, (ville dont le blason/logo « fer à cheval » fait référence à une ville d’étape de diligence entre Strasbourg et Lyon) ; et enfin (superbe établissement scolaire qui a su rebondir dans son temps et à l’histoire passionnante, et exemple en terme de scolarité) l’Institution Champagnat. Désolé de ma mise en forme scabreuse du présent article, et pour les vrais curieux, osez le commentaire pour vous et m’interroger sur chaque détail (St-Michel archange champion des anges, tueur du dragon, Mont-Saint-Michel, (que j’ai eu la chance de visiter en pleine lune d’août 2007) ordre des antonites, …). Il faut connaître aussi l’Histoire de l’Alsace… de l’Allemagne…
notes de frère Jacques… quelques références.
Voilà boulot pré-maché avec nos liens dans nouvel onglet, soyez curieux !
L’hiver sera aussi littéraire, à fourmiller… Si l’été est cigale à chanter et danser !
Avec Richard, un partenariat naît, un partenariat concret et c’est la flamme d’une bougie de mots qui va danser tout doux pour cette saison ouvrée ou verte !
Il y a cette passion commune pour Charles Bukowski qui nous lie, lui et moi, en sus de cette ville « natale » qu’est Vesoul, bowling des âmes saoules !
Pierre qui roule n’amasse pas mousse mais Johnny !
Et j’en rie ! Deux égéries, deux bonnes nouvelles pré-hivernales, d’Ormesson et Hallyday/Smet, ne sont plus… Même si nous préférions Ferrat sur RMI’Z, ce qui est fait n’est plus à faire. Chaque bonne nouvelle connait son revers, pour d’Ormesson c’est de savoir que sa mère lui avait appris à honorer chacune de ses correspondances ouvertes, pas de lettre sans réponse ; mauvaise nouvelle je n’ai jamais écrit cette lettre à Jean. Pour Jean-Philippe, la mauvaise chose est qu’il ne m’a jamais rencontré ! Rock’n’Roll et surtout BLUES normal hivernal ..!
Nous devons tout de même à Johnny, par demande puis refus de paroles et musiques l’Amicalement Blues HFT/Paul Personne !
Ouh yeah, yé ! Bonne cheminée et boules de neige à chacun sur les quais du Grand Froid Electrique !
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(Photo de Simon Woolf)
Richard est originaire de Slovaquie et a atterri à Vesoul. Il est écrivain. Voici un entretien de celui dont le parcours a débuté comme poète édité dans sa jeunesse au niveau régional, puis au niveau national en tant qu’auteur de nouvelles et de romans aux éditions Black-out. Aujourd’hui, il publie également des ballades artistiques sur son webzine culturel Rich and Co Editions, où il se consacre entièrement à la mise en lumière d’autres artistes, venus de France ou d’Europe, en collaboration avec eux, dans des univers aussi variés que la peinture, la sculpture, la photographie, la littérature, le tatouage, les arts urbains et alternatifs, etc…
Dàrio : à quel âge as-tu commencé à lire sérieusement? Peut-on parler de capital culturel (familial)?
Richard Palachak : je m’en souviens précisément. J’avais à peine 13 ans. Le déclic, ç’a été lors de vacances en Bretagne avec le père (J.) d’un ami (B.), et toute une ribambelle d’enfants. C’était un personnage très charismatique, un papa freudien, avec la stature patriarcale, le gros ventre et la barbe blanche… Il m’a confié le recueil de nouvelles « Deux amis et autres contes » de Maupassant et j’ai vécu une sorte de révélation… Pour le capital culturel je ne sais pas, la question mériterait une thèse…
Dàrio : quand as-tu commencé à écrire ? De la poésie d’abord ? Et peux-tu me décrire tes débuts en tant qu’édité ?
Richard Palachak : ainsi me raconter comment en être venu à éditer ? Au collège, comme je suis arrivé tardivement en France, j’étais une bille en français. Mais bizarrement en poésie, j’obtenais toujours la meilleure note, au grand désespoir des premiers de la classe. Quant à l’édition, c’est une histoire de rencontre humaine je crois. La relation éditeur/écrivain a quelque chose de passionnel et de réciproque. Il y a une alchimie qui se crée et qui est inexplicable. Sinon, je ne suis pas un éditeur proprement dit. La Plate-forme interculturelle Rich&Co Editions porte le nom d’édition pour se différencier des blogs d’Art et de Littérature. Notre contenu est exclusif et collaboratif. On crée des articles qui sont quelque part des œuvres à part entière, co-construites avec les artistes que l’on publie de manière exclusive et originale. C’est en cela que l’on peut se permettre de s’appeler Editions.
Dàrio : quel est ton top dix, cinq ou trois de livres ?
« Un mélange d’avancement trop rapide et de passé immuable, où les buildings côtoient des vestiges médiévaux et le gigantisme soviétique des quatre voies en lacets bouclés. Puis des blocs administratifs d’entreprises du monde entier, le château et son Stare Mesto pittoresque, un océan d’immeubles déglingués à perte de vue, le beau Danube bleu qui vire au marron sous la pollution des picaillons européens, des centres commerciaux féroces et titanesques, des usines de tout et de rien et surtout de partout, des zones d’activité cyniques et démesurées, les fameux trams et trolleys rouges plus explosifs et plus forcenés que jamais, les bagnoles toujours plus fumeuses et les antennes relais toujours plus populeuses, et les éoliennes vertigineuses qui poussent sur le terreau moisi la piétaille empressée, du bordel et du bruit, des odeurs acres et des visions stroboscopiques, autrement dit le futurisme malhonnête et la nostalgie artificieuse, le tout gribouillé sur un même faux papier jauni de liseuse numérique dégénérée, convulsionnant l’avenir dans la nuit du Nouveau Monde. » Richard Palachak
Dàrio : peux-tu me parler et identifier ton travail avec Black-Out éditions ?
Richard Palachak : la rencontre entre un éditeur et un écrivain est affaire de connectivité et d’affect réciproque. J’adore le travail de Black-out Editions, et je pense que mon éditeur apprécie également le mien. Actuellement, on réalise une chronique hebdomadaire sur le site de la maison d’édition tous les mardis, « Les Fragments de Nuit, inutiles et mal écrits », en collaboration avec mon ami photographe Simon Woolf (dont je suis un fan absolu). Un recueil de Nouvelles sortira en début d’année 2018 (toujours illustré par Simon Woolf) et la suite en 2019. Après on verra, on se laisse porter. Il y a plein de projets, d’idées possibles et imaginables. J’ai déjà 2 romans d’avance et mon éditeur a plus d’un tour dans son sac. Je suis persuadé que l’histoire ne fait que commencer.
Nulle n’est besoin de présentation, ici le communiqué de notre nouveau lien ami :
C’est avec joie et fierté que RMI’Z offre une visibilité aux … Restos du Coeur, association nationale aux ramifications locales…
C’est gratuit, c’est gentil, et il n’est pas question de saison privilégiée pour cela, à tout moment ceci est normal de se préoccuper de ses voisins démunis, trop souvent invisibles. Et c’est d’ailleurs plutôt l’œuvre de Coluche, que nous admirons tant, qui offre le sourire à RMI’Z.
Entre associations aux préoccupations proches, l’entraide est nécessaire. C’est le ciment altruiste, plutôt le moteur du bénévolat et de la bonne action. Depuis sa création, la situation n’a fait que se détériorer et Coluche a démontré que du CŒUR est absolument utile pour combattre les maux que connait notre société malade et déshumanisée. Alors, en rangs serrés, communiquons, donnons, sourions au plus démunis et désemparés.
Cette visibilité se voudra progressive, bannières publiées au fur et à mesure de notre avancée, entretiens avec des responsables, des bénévoles pour illustrer l’action telle qu’elle se définie au présent (pour ne pas rester ni passifs, ni passéistes…). Répondons aux besoins du temps présent.
Comme annoncé dans la première revue, les choix de bonne facture audio et radio sont de plus en plus rares et manquent d’originalité ; résultat de mes pérégrinations d’auditeur averti …
Entrons dans le vif du nerf de la guerre…, place à quelques collègues :
D’abord, une radio anglophone de Louisiane…, de New-Orleans, foyer blues, jazz, quelques titres francophones rares et choisis et assez drôles… Trop de jazz et de baragouinages ricains… mais sympa !
Un radio blues à la française, variée, à écouter sans hésiter, tendance jazz…
Place à « Radio Meuh », une antenne alpine, française, très clubbing sauce radio Nova, pour ne pas citer non plus leurs voisins fameux de Couleur 3…
Ici un slogan domine :
« Enjoy Music from Reblochonland »…
Maintenant une petite réflexion sur la francophonie…, avec cet article de Radio Canada : 2 vidéos et un article.
Et puis enfin pour terminer le coup de cœur mongol, une radio québecoise, trouvée non sans peine, après quelques recherches, mais le nom en vaut la chandelle (même si elle semble tourner en boucle…!) : suggerebonheur.com/
Ici c’est poésie, littérature, musique et quelques paroles des plus sympathiques… mais pas que… sciences & cultures aussi !!!
Alors bonnes écoutes, … oisivement et « labeur’ment » votre !