"L'avantage de la radio sur le cinéma, c'est qu'à la radio l'écran est plus large." Orson WELLES. _________<<<——<< média tout culturel poético-philosophique >>——>>>_________
Michael WEIDEN sera votre Super Mario de CBD, non seulement en terme de connaissances, de fournitures et suivants les gouts ! Car votre humble narrateur, n’y connaissant rien en matière de weeds, alors il a mené l’enquête totale… La loi de 70, l’Égypte, Napoléon, Jack Herer. Passons tout au crible.
C’était un premier décembre, total, totem, reportage brut, bisou merci bisous. 1er décembre 2022 à Pont-à-Mousson. France.
Reportage brut avec Michael WEIDEN, Dodgy, Tryo, Jimi Hendrix, Deep Purple, Polémix la voix off…
Période inquiétante ? Inflation ? Emploi ? Guerre généralisée ? Courses aux énergies et sobriétés économiques ?
Un certain président a dicté « la fin de l’abondance… » !
C’est surtout la fin d’un monde oublié, le nouveau monde est numérique, sans boussole, dans l’arène sociale des réseaux totalitaires, le nez sur le GPS en oubliant la Nature (exacte inverse de la Culture), l’être humain marche sur la tête, mais certains savent qu’il nous faut simplement revenir aux sagesses héritées de nos aïeux.
L’Abondance est, tout autour de Nous ! Vergers, élevages à taille humaine, BON SENS, d’un poireau ou d’un poulet en tirer le maximum, en jeter le minimum, et retour aux forêts comme celles de l’automne aux champignons…
C’est justement Vincent qui m’a inspiré cet article de fond… entre ce post ci-dessus, ma pratique de retour aux forêts, et celle de ses personnages de son ouvrage Les loups des bois…
Et puis, je suis rassuré de voir quelques connaissances impacter Facebook de cette pratique, ici quelques petits échos …
Pour ma part, depuis quelques jours, j’ai eu la joie de réaliser deux poêlées de trompettes de la mort, { tiens ! Ne dit-on pas aussi craterelle en forme de corne d’abondance } me perdre dans le bois de mon enfance, obtenir un face à face avec une biche furtive.
Bien sûr tout ceci appelle une certaine nostalgie de n’avoir pas été assez attentif aux leçons cousues d’or de mon grand-père, celui qui connaissait mieux les champignons du département que n’importe quel pharmacien digne de ce nom, celui qui passa l’hiver 1944 (l’un des plus froid du siècle dernier) en Résistance dans ce même bois imagé ici-bas… Points communs avec Les Loups de Bois de Vincent Bousrez : la Haute-Saône, les Résistances, les survivances… !
Quelques particularités ci-dessous par mes soins en vrac :
Enfin, en guise de conclusion, voilà la dernière galerie photo toute fraiche du jour, une forêt inconnue de moi-même encore ce matin, au dessus des vignes du Haut-Rhin… : prétexte aux couleurs automnales !
[ Merci infiniment à Agathe, chargée de communication de la MOPO3 de m’avoir permis cette publication. ]
Si le mot TRAVAIL vient du latin TRIPALIUM, instrument/outil de torture, le mot OUTIL inspire l’extension de l’humain !
« La Maison de l’Outil et de la Pensée Ouvrière présenteunecollectionuniqueaumondede 12 000 outils de façonnage à main des XVIIème, XVIIIème et XIXème siècles, scénographiée de façon prodigieuse dans 65 vitrines.
Les imposantes vitrines sont principalement construites autour des métiers, le musée étant divisé en 4 familles : le bois, le fer, l’animal et le minéral. Les outils ont été minutieusement choisis pour devenir les témoins d’une vie d’homme, de maîtrise et de culture. »
Ici on retrouve une visite ordonnée, 160 clichés, pour honorer ce amas incroyable d’ustensiles ! La plus grande collection européenne, dans un musée remis à neuf, moderne, sensoriel, instinctif, agréable et curieux, dans un bâtiment qui claque !
SUITE ET FIN : ballade troyenne et œil outil topographique… :
Quel que soit le contexte, l’ancien employé d’usine œuvre à tout va ! Désormais indépendant, il produit, produit, produit, personnellement, à la maison, mixant récupération, forge et fonte avec une imagination et une documentation très inspirées.
Rencontré à l’automne dernier dans un célèbre moulin à bières de Haute-Saône, moi-même, Pozor, et lui, avons convenu d’un article, d’un entretien que vous allez découvrir enfin.
C’est le premier article qui marque le retour de RMI’Z, enfin, depuis presque un an..! C’est avec joie que je désire le consacrer à Niotte Prod’!
d’un son auto-réalisé par Romain BRESSON sur les questions alambiquées de Màxim Pozor
« A quel age et sensations enfantines t’es-tu découvert à l’art et sa pratique naturelle? Depuis quand procèdes-tu de la sculpture? » [à 40 secondes de lecture] (comporte extrait de COROSTELER à 2 minutes pollué par sample de l’agence tout risque !!!)
« Justement appelles-tu ceci sculpture? arts plastiques? » [à 2 minutes 30 de lecture]
« Tes inspirations viennent d’un mix entre ta folie inhérente et la récupération occasionnelle? » [à 3 minutes 30]
« Côté inspirations ? ALIEN de HR GIGER ? Des univers musicaux ? [à 6 minutes] cinémas ? bd? autres? littératures? [à 6 minutes 30 dont coucou RICHARD PALACHAK]« (Liza’N Eliaz [à 4 minutes 50] en référence à Manu Le Malin pour l’évocation Biomechanick + sample film THE FACULTY)
« Sacrifierais-tu ton environnement rural, ton atelier et jardin et portes ouvertes à une carrière internationale non respectueuse de la planète? » (la question comique quoi !) [à 7 minutes] (+ samples Portishead & « 2001, a space odyssey »)
CI-JOINTS une sélection de notre ami pour vos beaux yeux d’une dizaine de ses œuvres dont nous vous privons de légendes pour laisser libre court à votre IMAGINATION confinée !
Il existe aussi la série SYMBIOSE : « Symbiose » ou la rencontre artistique et humaine de 2 univers. Martine Heidet artiste peintre et Romain Bresson sculpteur sur métal. A travers leurs oeuvres communes les 2 artistes vous emportent dans leur monde imaginaire où lunes argentées et papillons côtoient le fer plat.
Les anciens étudiants d’Histoire de l’art de Besançon, par exemple, connaissent par étude en amphi, le fameux retable d’Issenheim, signé Matthias Grünewald. Celui-ci est hébergé à Colmar au musée Unterlinden, récemment rénové. Mais votre humble narrateur a eu le privilège de rencontrer et épouser la ville d’Issenheim dernièrement, en février, et y a croisé Frère Jacques, aux lumières intarrissables. Résultat une visite des édifices religieux de la bourgade du Haut-Rhin, quelques photos et bons mots.
« JOSEPH, CHASTE époux ! »
A savoir l’album ci-dessous de cette journée du 26 février 2019 se présente de manière dé-chronologique… qui fut visite au couvent [des Antonins / Maison Saint-Michel] jésuite où fut créé et exposé sur l’actuel parvis (ancienne nef) le retable… édifice détruit puis reconstruit à l’inverse des orientations Est-Ouest traditionnelles, que Saint-Antoine (« le Grand ») fut un moine (fondateur de l’idée monacale) du désert, les tentations de Saint-Antoine seraient un sujet philosophique religieux, tout ceci vous le découvrez en liens…, puis à l’église d’Issenheim, (ville dont le blason/logo « fer à cheval » fait référence à une ville d’étape de diligence entre Strasbourg et Lyon) ; et enfin (superbe établissement scolaire qui a su rebondir dans son temps et à l’histoire passionnante, et exemple en terme de scolarité) l’Institution Champagnat. Désolé de ma mise en forme scabreuse du présent article, et pour les vrais curieux, osez le commentaire pour vous et m’interroger sur chaque détail (St-Michel archange champion des anges, tueur du dragon, Mont-Saint-Michel, (que j’ai eu la chance de visiter en pleine lune d’août 2007) ordre des antonites, …). Il faut connaître aussi l’Histoire de l’Alsace… de l’Allemagne…
notes de frère Jacques… quelques références.
Voilà boulot pré-maché avec nos liens dans nouvel onglet, soyez curieux !