"L'avantage de la radio sur le cinéma, c'est qu'à la radio l'écran est plus large." Orson WELLES. _________<<<——<< média tout culturel poético-philosophique >>——>>>_________
Rencontrer Vincent BOUSREZ est une chose aisée pour votre humble narrateur, radioactif historique vésulien d’antiquité. Cette fois, c’est en auteur de fiction dédiée à la Résistance, que ce vieil ami de lycée, où nous fîmes nos armes, sillonne le secteur… {Entretien dédié de ma part à Christian Caillet, Léonard Sevestre, patron Toine & Antoine Sautenet. @jean-luc et yollande : enseignants, parmi d’autres… }
25 ans plus tard, Vincent propose localement, son premier roman, d’aventure historique, au fil de l’actuelle région Franche-Comté, mais en 1668 côté théâtralité du récit.
« Les comtois se faisaient enterrer la face contre terre pour ne pas voir le (roi) soleil »
Les Loups des bois évoque la guerre, la Franche-Comté en est le théâtre des opérations, alors des références telles « Star Wars », « La Guerre des boutons », ou Alexandre Dumas…. Ou encore le fabuleux « L’armée des ombres »…sont les bienvenues…
Naître à Metz (57), grandir entre Vaivre et Chariez -(70) … travailler à Villejuif et non Paris comme dit par mes gardes en entretien mal préparé….;
les loups des bois Comtois, rends-toi…
Bonne lecture à chacun ..!
Nous n’allions pas vous mâcher l’ouvrage !
Trouvons par nous-mêmes, dans nous, et extensions. In cancoillotte WE trust !
Ici un article en mode entretien sans aucune rencontre… Interview e-mail pour le dire en anglo-saxon quasi germanique… (Entretien courriel, aussi pour le francophone avec le dessinateur Cédric Philippe…) Nous y évoquons son projet d’exposition et d’ouvrage « La petite épopée des pions », réel travail autour des damiers et du jeu d’échecs…
Chers lecteurs, tout d’abord, « Dobrý den » pour « bonjour » en tchèque… donc en slave ; « ça va-gnin? ça va ou bien ? » pour le dire en jurassien ! (Historiquement la manière dont HFT salua son public à la Saline Royale d’Arc-Et-Senans, Doubs, pour une prestation publique aux côtés d‘Aldebert il y a quelques années…)
Màxim Pozor :
Comment t’es venue l’idée et les inspirations de ton projet ? La librairie semble avoir proposée le concept à la médiathèque de Saint Claude mais comment ensuite vous êtes vous organisés autour d’un tel écrin ?
Cédric Philippe :
L’initiative vient de Françoise, de la Médiathèque du Dôme, qui avait beaucoup apprécié le livre La petite épopée des pions (texte d’Audren, illustration de moi-même, aux éditions MeMo). Elle m’a contacté, nous nous sommes rencontrés et avons établi ensemble un florilège d’événements autour du livre : l’exposition des illustrations originales, une succession d’ateliers créatifs et de rencontres avec des classes ayant travaillé sur le livre en amont, et une conférence pour clore le cycle où j’expliquais la création de mes autres romans, Les Fleurs sucrées des trèfles (à paraître en janvier) et S’il nous pousse des ailes, la trilogie sur laquelle je travaille en ce moment. Rencontrer en personne les lecteurs et partager le processus de création sont deux choses importantes pour moi. Il s’agit des rares moment où l’on peut avoir des avis directs sur nos histoires et sentir comment elles sont reçues. Le livre est un objet merveilleux mais l’instant où il prend réellement vie, lorsqu’il est lu, a lieu loin de ceux qui l’ont créé et souvent des mois après la création. Or sentir ce qui se passe lors de cet instant est crucial pour pouvoir ensuite évoluer dans les prochains ouvrages : changer ce qui n’a pas marché, inventer de nouvelles manières de dire ce qui n’a pas été compris et aussi, et c’est peut-être le plus important, apprécier dans les yeux des gens cette étincelle qui montre que ce qu’on a partagé les a émerveillé ou transporté ou grandi.
Màxim Pozor :
Y-débute à la médiathèque de Saint-Claude (au commencement d’avril 2019) des interventions de ta part. Tu nous raconteras ? Tu pourrais même nous révéler avant si tu as des attentes ou si c’est juste une intervention sans lendemain ?
Cédric Philippe :
Lors des ateliers créatifs, je partageais des méthodes simples pour imaginer des histoires particulières et les réaliser par le dessin et l’écriture. Certaines de ces astuces proviennent de Gianni Rodari et de sa Grammaire de l’Imagination, que je cite parce que c’est un excellent livre pour quiconque s’intéresse aux processus imaginaires, à l’utilité de la création en société et aux moyens simples et ludiques qui existent pour inventer seul ou à plusieurs des histoires extraordinaires. Les adultes et les enfants participants aux ateliers ont été formidables, ils ont inventé l’extincteur qui lance des poulets sur les incendies (les poulets grillent parfaitement de cette façon), une famille de bicyclettes dont le rêve est de faire un salto arrière, les nuages à la bergamote ou encore un pays où les habitants mangent de l’argent et paient avec de la nourriture. Je ne me souviens plus de toutes les idées et d’ailleurs, je n’ai pas eu le temps de toutes les voir. Cela peut sembler absurde, mais c’est aussi ce genre d’idées ou de regard dont, je crois, notre monde a besoin pour prendre du recul, se poser des questions naïves mais primordiales, rigoler ensemble, rester curieux et refuser parfois ce flux de merde qu’on nous enfourne par les yeux, les oreilles et le reste, tellement de merde qu’on se sent même plus que ça pue.
J’ai donc des attentes vis-à-vis de ces ateliers et conférences, qui ne sont qu’une poignée parmi une longue série (mais une goutte d’eau dans l’océan). J’espère secrètement qu’ils plantent des graines, que les participants rentrent chez eux avec ces graines et que ces graines leur seront utiles pour trouver un bonheur qui leur correspond et aider d’autres personnes à trouver un bonheur qui leur correspond et que ce bonheur soit une base stable pour de futurs bonheurs.
Galerie vrac entre expo in situ et dessins créés et offerts par C. Philippe, et vues de Saint-Claude annexes…
Màxim Pozor :
Et puis donc nous parlerais-tu des extérieurs, Prague, Strasbourg ? D’autres ?
Cédric Philippe : J’ai vécu à Strasbourg et Prague, je viens du Jura et j’habite à Prague. Je ne sais pas trop quoi en dire, à part que ce sont des endroits magnifiques et où il fait bon vivre quand on a assez d’argent.
La cathédrale de Strasbourg est sensationnelle. Les montagnes jurassiennes aussi. Contrairement à la culture française, la culture tchèque s’exporte peu et regorge de trésors. Si vous venez à Prague, qui que vous soyez, contactez moi via cedricphilippe@yahoo.fr et j’essaierai de vous en montrer quelques secrets.
Màxim Pozor :
Il y aurait des dizaines de références en commun avec moi même Màxim Pozor, Prague,le jeu d’échecs, le noir et blanc dans le graphisme comme l’audiovisuel…
Cédric Philippe :
Je ne connais malheureusement pas encore votre travail, Màxim Pozor, mais vous m’intriguez. Votre écriture sort des sentiers battus et c’est très agréable.
Au niveau de l’histoire et des dessins, Les Moomins, ces ROMANS de Tove Jansson (il y en a 7 ou 8)(j’insiste sur ROMANS parce qu’il en existe aussi des dessins animés et des albums illustrés) m’ont inspiré enfant et m’inspirent toujours. Les Moomins vivent dans une vallée au bord de la mer environnés de Touilles, de Mumes, d’Émules et d’autres créatures et vivent des aventures en apparence simples mais rocambolesques. Les relations entre les personnages sont d’une profondeur suprenante. Ils mangent des épines de sapin au dîner précédant l’hiver pour ne pas hiberner le ventre vide. Pour les dessins en noir et blanc, je m’inspire aussi de photos du siècle dernier, celles de Lewis Carroll par exemple, mais je préfère puiser ailleurs que dans les images. La musique minimale m’aide parfois à construire les rythmes de mes illustrations. Le sport m’aide à oser et pousser mes limites quand je dessine. Je crois qu’il est difficile de cibler véritablement ce qui nous entraîne dans la vie sur telle ou telle idée, tel ou tel style, telle ou telle forme de bec d’oiseau ou tel stylo pour faire un trait.
Merci pour ces questions, et merci à celles et ceux qui lisent cette interview ! Je crée aussi des vidéos et des spectacles en parallèle des romans, dont une partie est visible sur mon site : http://cedricphilippe.com
L’homme se prénomme Michel et n’a pas l’âge canonique de son homologue journaliste Drucker, mais une production qui n’a rien à lui envier. Journaliste depuis 38 ans et auteur depuis 42 ans, celui qui travaille actuellement à France 3 Bourgogne / Franche-Comté a exercé à Strasbourg pour ce même canal télévisé, fidèlement, et puis aussi homme radiophonique pour France Bleue et intervenant chansonnier pour l’historique Radio BIP à Besançon toujours..!
Tout le respect que m’inspire cet homme m’incitait à lui poser quelques questions auxquelles il a bien voulu répondre, se prêtant gentiment au jeu du miroir, arroseur de journaliste arrosé ! ENTRE CURIEUX !
Dàrio : Je t’ai connu au chant, sur la compilation anniversaire de Radio BIP (radio indépendante depuis 1977, les radios libres en France étant autorisées depuis 1981 !), alors que j’étais à Fréquence Amitié Vesoul au début des années 2000… Quel est ton parcours ?
MICHEL BUZON : Je suis d’abord « auteur » depuis l’adolescence. Premiers écrits en 1976 à 18 ans. L’idée d’en vivre me trotte alors dans la tête. Je choisis un métier qui ne m’éloignera pas trop de cette passion vitale. Ce sera le journalisme avec la volonté d’évoquer celles et ceux dont on parle peu, à l’envers de tout matraquage. Difficile… Études au CUEJ à Strasbourg. Premier stage à FR3 Besançon en 1978, premières piges à Strasbourg en 1979 et 1980. En poste à France 3 Franche-Comté (Bourgogne-Franche-Comté) depuis le 15 décembre 1981. Je bascule dans la chanson et le rock avec la mise en musique de mon livre « l’apprenti mortel sur la fréquence du poème pirate » en 1982.
Dàrio : As-tu des chiffres à donner quant à la quantité de reportages télé que tu as réalisé ?
MICHEL BUZON : Quelques chiffres : environ 3000-4000 reportages je pense. Présentation d’une douzaine de magazines d’informations ou culturels de 1982 à 2006 dont les plus emblématiques resteront « Jean’s » (magazine Rock) dans les années 80 et surtout « C’est signé » dont j’étais producteur exécutif dans les années 90, présenté en direct et en public le soir vers 23h avec de nombreux groupes en live ainsi que toute l’actualité du spectacle vivant (avec la complicité de mon camarade chroniqueur Thierry Binoche et du peintre Bruno Medjaldi). Plus de vingt ans de couverture des Eurockéennes.
Dàrio :Dans un article RMIZ’ consacré à HFT, (le cheval…), un docu du début des années 1980 est réalisé par toi, que peux-tu en dire ? Tu as suivi HFT tout du long de sa carrière, racontes-nous cela ? ?
MICHEL BUZON : C’est un magazine de 13 minutes en 1982 avec un court entretien qui en dit déjà assez long sur sa personnalité et son rapport aux médias. On avait filmé trois titres de l’album « Soleil cherche futur » dont deux en studio avec les musiciens « Soleil… » et « Lorelei » et puis un clip un peu scénarisé en extérieur avec « Les dingues et les paumés (son premier en quelque sorte) avec de petits moyens. Nous l’avions tourné, avec Richard Macé, sur le site de l’ancienne usine de Moulin rouge dans le Jura, de nuit, avec les grandes cheminées qui n’existent plus ainsi qu’à l’ancienne prison de Dole.
Rubens, Saturne dévorant un de ses fils (détail).
Je me rappelle avoir « sacrifié » un exemplaire des chants de Maldoror, jeté dans une flaque boueuse. J’ai récidivé en 1985 au Fort de Joux et à la Citadelle (Vauban, Besançon) pour « Femme de Loth » (toujours avec R. Macé). Je joue dans ce clip l’ombre d’Hubert … et je tiens le chandelier de dos dans les souterrains.
Je l’ai toujours suivi sur de nombreuses tournées à différentes époques et nous étions souvent les seuls de la télé à mettre ses concerts (des extraits) en mémoire.
J’étais à Bercy en 98 pour ses 20 ans de carrière. Moment de grâce. Nous en avons fait un magazine de 13 minutes. Il n’acceptait que notre équipe en coulisses. Une confiance qu’il m’a toujours renouvelée jusqu’à évoquer son burn out dans un magazine que j’ai tourné en 2011 je crois (Premières balises après renaissance) et enfin jusqu’au documentaire de 2012 évoqué plus haut (produit par séquence SDP et FranceTV). Nous l’avons suivi en tournée dans toute la France avec Dominique Debaralle.
Pour moi, très jeune, la famille Thiéfaine à Dole, c’était déjà le père Thiéfaine, Maurice, qui faisait du théâtre amateur. Il travaillait dans une imprimerie de Dole avec mon grand-père ouvrier-typographe. Le nom circulait déjà dans mon entourage. Il y avait aussi le curé, le père Thiéfaine son oncle et puis un jour on m’a dit que le fils Thiéfaine chantait dans les cabarets. Je l’ai su par mon frère qui était au lycée avec le plus jeune frère d’Hubert.
Mon père et Hubert, sans se connaître, avaient un copain commun (qui est devenu proche de moi aussi). Il tenait un petit bar-restaurant près de la gare de Dole (mon père était cheminot).
C’est là que j’ai rencontré Hubert-Félix Thiéfaine pour la première fois au début des années 1980. Il avait signé cette fois quatre albums. Son succès auprès du public était grandissant et je sentais en lui une dimension vitale et une approche très singulière de l’écriture et de la musique. Je le voyais vraiment de ma « famille » d’expression. Notre passion commune pour Léo Ferré a fait le reste. Une part d’énigme comme ses chansons avec des clefs littéraires, émotionnelles et picturales. Sauvage, introverti, écorché. J’étais très intimidé comme je le serai plus tard avec Ferré. Il est resté pour moi un grand frère, un modèle d’écriture et de comportement dans le show biz. Sans concession.
Dàrio : Il y a tant d’artistes que tu as reporté, quels sont tes préférés ? ? ?
MICHEL BUZON : Mes influences en tant que chanteur, pour les français, Ferré donc en premier lieu, puis Thiéfaine, Gérard Manset énormément, Mama Béa Tékielski, Sanson aussi et enfin dans les sommets Christian Décamps et le groupe Ange qui ont été les premiers à établir une belle alchimie entre poésie et rock en France. Côté anglo-saxon, tout devant David Bowie (j’étais habillé en Pierrot lors de ma première tournée), les Beatles (Mac Cartney en tête) , les Stones, les Who, Neil Young, Patti Smith, Dylan… Mes belles rencontres de journaliste,… il y en a trop . Nougaro sûrement dans le théâtre tenu autrefois par son père à Besançon… Émouvant.
MICHEL BUZON : suite de la bio…: en fait depuis le site, il y a le blog qui donne des indications actualisées car techniquement je suis bloqué par le site. Donc, il faut renvoyer les lecteurs au site et au blog. Après « les odeurs de sainteté » , nous avons tourné avec Thierry Davoux qui a remplacé José Duarte à partir de 2008. C’est Thierry qui a signé les premiers arrangements de deux titres du futur album joint au livre « carnets de déroute et petits bonheurs éparpillés » (2013). C’est ce livre qui m’a inspiré l’album entier. José Duarte est revenu et a signé l’essentiel des arrangements de « Dernier fou rire sur la banquise » paru en 2016, que nous avons présenté dans des petits lieux. Je prépare actuellement un neuvième album entièrement consacré à Ferré pour cet automne. Un titre figure déjà sur « dernier fou rire ».
J’ai présenté ce projet avec Ludo Mantion au piano le 27 avril dernier dans le cadre du festival « Faites moins de bruit » sans micro, sans amplification pour les artistes ! C’était vraiment bien. Ça oblige à gérer son corps autrement. Ludo a enregistré et mixé entièrement le dernier CD. Pour finir, je viens de publier un nouveau recueil de nouvelles « Histoires de rêves suspendus ». Je n’abandonne pas l’écriture.
Extrait de « Libertaire » du livre« carnets de déroute et petits bonheurs éparpillés » (2013).
C’est avec joie et fierté que RMI’Z offre une visibilité aux … Restos du Coeur, association nationale aux ramifications locales… C’est gratuit, c’est gentil, et il n’est pas question de saison privilégiée pour cela, à tout moment ceci est normal de se préoccuper de ses voisins démunis, trop souvent invisibles. Et c’est d’ailleurs plutôt l’œuvre de Coluche, que nous admirons tant, qui offre le sourire à RMI’Z.
Entre associations aux préoccupations proches, l’entraide est nécessaire. C’est le ciment altruiste, plutôt le moteur du bénévolat et de la bonne action. Depuis sa création, la situation n’a fait que se détériorer et Coluche a démontré que du CŒUR est absolument utile pour combattre les maux que connait notre société malade et déshumanisée. Alors, en rangs serrés, communiquons, donnons, sourions au plus démunis et désemparés.
Cette visibilité se voudra progressive, bannières publiées au fur et à mesure de notre avancée, entretiens avec des responsables, des bénévoles pour illustrer l’action telle qu’elle se définie au présent (pour ne pas rester ni passifs, ni passéistes…). Répondons aux besoins du temps présent.
En avant, tous ensemble.
L’hiver sera aussi littéraire, à fourmiller… Si l’été est cigale à chanter et danser !
Avec Richard, un partenariat naît, un partenariat concret et c’est la flamme d’une bougie de mots qui va danser tout doux pour cette saison ouvrée ou verte !
Il y a cette passion commune pour Charles Bukowski qui nous lie, lui et moi, en sus de cette ville « natale » qu’est Vesoul, bowling des âmes saoules !
Pierre qui roule n’amasse pas mousse mais Johnny !
Et j’en rie ! Deux égéries, deux bonnes nouvelles pré-hivernales, d’Ormesson et Hallyday/Smet, ne sont plus… Même si nous préférions Ferrat sur RMI’Z, ce qui est fait n’est plus à faire. Chaque bonne nouvelle connait son revers, pour d’Ormesson c’est de savoir que sa mère lui avait appris à honorer chacune de ses correspondances ouvertes, pas de lettre sans réponse ; mauvaise nouvelle je n’ai jamais écrit cette lettre à Jean. Pour Jean-Philippe, la mauvaise chose est qu’il ne m’a jamais rencontré ! Rock’n’Roll et surtout BLUES normal hivernal ..!
Nous devons tout de même à Johnny, par demande puis refus de paroles et musiques l’Amicalement Blues HFT/Paul Personne !
Ouh yeah, yé ! Bonne cheminée et boules de neige à chacun sur les quais du Grand Froid Electrique !
C’est dans les vieux pots que l’on fait la meilleure, la bonne, confiture !
Ainsi, votre serviteur Dàrio revient des cendres de feu Radiobing.org pour lancer un nouveau site d’infos tout culturel, RMIz… Différent de ce magma de news ruminées, sans intérêt REEL et surtout à régurgiter… Le but redevient d’innover avec un journalisme chez soi-même, en soi et in situ.
Notre seule éthymologie, nous la trouvons chez un chercheur et trouveur d’or ou de mots… :
Nous avons choisi collégialement, associative-ment, avec une nouvelle équipe (deux personnes ! car à plus on est une bande de c… disait à raison Brassens), une équipe donc de vieux pots, de rendre hommage à un artiste fascinant de droiture et gage de qualité culturelle : HFT, ( dit « le vieux » par mégarde, que je voudrais Diogène philosophe ultime en sa caverne ) Hubert-Félix Thiéfaine, en l’occurrence son titre « un vendredi 13 à 5h »
[Thiéfaine riposte à la luxueuse rumeur de sa disparition avec ce titre, (génialement arrangé par le compère Claude Mairet…) Rallumer la lumière de vos écrans sur des choses rares, des gens trop méconnus, (songe à Illuminations/Rimbaud)…]
L’équipe susdite se compose donc de Herr mister Ertzin et de moi-même Dàrio, votre serviteur…
Ainsi nous saluons cette obsession de la poésie et du chiffre, une dose de philosophie moderne et contemporaine conduira notre ligne éditoriale, nous éloignant je le souhaite des débats politiques, pour mener d’autres campagnes de connaissances.
Enfin, au commencement est également la rencontre, nos entretiens privilégiés verront jour ici-même, sur le Grand Froid Electrique, l’écran, l’Internet, RMIz… (à venir François Corbier, Morteau Morille, Jean-Hugues Anglade, etc… surprises sur prises !)
Une certaine critique de la jeunesse a fondé notre envie entre vieux sur cette antenne, une radio écrite, nous traiterons alors de quelques dossiers, thématiques, exercerons une véritable Radiographie de nos vies, envies, … enquêtes !
Zéro pub, contre promotion amicale, rencontres et paroles… Essayons de déjouer le paraître… mais rester narcissique à travers le miroir de l’écran et prendre les paris de poésie et de la philosophie (les philosophies et arts de vies). Zéro matériel quasiment, réduits au minimalisme, zéro revenu, zéro moyen, j’ai voulu tester une théorie que je pense soulevée par Jim Morrison (mais dont je ne retrouve encore pas référence) : le zéro absolu. Philosophie certainement empreinte de Nietzsche, sauce Jim, qui voudrait que tout homme puisse recommencer sa vie à tout moment, chose qu’il théorisa, que le fantasme voudrait accompli par lui, la légende seulement, mais laissons planer ce doute, RMIz incarne un certain ZERO !
Cher lecteur, entre ici si tu comptes plutôt muscler que reposer tes méninges et neurones, ou encore les remuer… L’Emotion est-elle première ?