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Archives mensuelles : janvier 2018
L’Antonnoir : M. BEAUROY, V. TORRRES, T. MORETTI
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Publié dans Arts sonors
Mots-clés : Aimé Césaire, Antonin Borie, Argentine, Bahreïn, besançon, Dj Pone, DJ Vadim, Elisa Do Brasil, Filastine, Georges Edouard Nouhel, Hint, L'Antonnoir, La Rodia, M. BEAUROY, Maher Beauroy, Martinique, McCoy Tyner, Montreux, Paris, rue de Dole, T. MORETTI, The Bellrays, Tom Moretti, Uruguay, V. TORRRES, Vladimir Torres
FICA#24-2018 : Syrie et Paroles de femmes
Nous en étions restés là hier après avoir évoqué la Mongolie : deux autres axes explorés : la Syrie du cinéaste M. Malas et du photographe Z. Abdelkafi, et les Paroles de femmes (29 productions avec notamment The Lady de Luc Besson ou Quand une femme monte l’escalier, japonais de 1960). Avec la Syrie, par son passé, son rayonnement, la présence française (1919-47) et la francophonie subsistante, Jean-Marc Thérouanne, avisé, nous suggère son goût pour Les Rêves de la ville, qui narre l’histoire d’un enfant à Damas en 1984, découvrant le monde urbain dans ce pays inventeur de la cité il y a près de 5000 ans.
Reportage audio 17 minutes : Exposition du photographe Z. Abdelkafi « Je suis de là, je suis d’Alep »… par Stéphane de Fréquence Amitié Vesoul 12 janvier 2018. C’est en écoute sur le lecteur ci-dessous.
Il y a un second entretien audio (24 minutes) à entendre ici : Jean-Marc Thérouanne et Bastian Meiresonne nous parlent de leurs coups de cœur en tant que programmateurs du FICA, toutes sections confondues. On prend le temps pour les curieux, ça fait plaisir ! Lecteur audio ici dessous :
Dans un second temps, nous évoquons avec Jean-Marc, Délégué Général, les cycles Paroles de femmes et hommage à Mohamad Malas, la mémoire et la vie.
Nous parlons de la grande chanteuse, Oum Kalthoum, l' »Astre de l’Orient »… pour le côté musical proche-oriental… En voici un peu !
Enfin pour être complet voici le dernier reportage télé de France 3 Bourgogne Franche-Comté, avec la direction du Festival au cinéma de la ville… EN LIEN ICI.
Et voila, vous voici armés à J-7 du FICA 2018, 24ème du nom.
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Publié dans Arts Visuels, Cultures - Société
Mots-clés : "Je suis de là je suis d'Alep", 2018, Alep, Asie, cinémas, Festival des cinémas d'Asie de Vesoul, FICA, France 3 Bourgogne Franche-Comté, Fréquence Amitié Vesoul, la mémoire et la vie, Luc Besson, M. Malas, Mohamad Malas, Oum Kalthoum, Paroles de femmes, Syrie, The Lady, vesoul, Zakaria Abdelkafi
RichAndCo bis
Nous avons laissé notre auteur / éditeur Richard Palachak il y a peu… L’actualité s’amplifie pour lui, nous en reparlons.
C’était d’ailleurs à propos de ses collaborations amies, alors reprenons là où nous nous étions arrêtés :
Dàrio : à l’instar du photographe Simon Woolf, peux-tu me parler de Charles Krug ?
Richard Palachak : tu as mis le doigt sur deux artistes qui me sont chers. D’abord parce qu’ils débordent de talent, ensuite parce que ce sont des personnes d’une générosité et d’une bienveillance extraordinaires, de véritables amis en somme. Simon Woolf est un artiste photographe professionnel originaire de Strasbourg qui possède un style unique, un univers fascinant et quasi-onirique, qui transmue la réalité en « peinture ». Je suis fier qu’il ait accepté de m’accompagner dans mon aventure littéraire, tout d’abord en illustrant ma chroniques « fragments de nuit, inutiles et mal écrits » sur le site de la maison d’édition Blackout, ensuite en illustrant les œuvres (recueils de nouvelles et romans) qui vont être publiés chez Blackout. Puis il y a Charles Krug, un pianiste à la fois génial et fou (dans le bon sens du terme), formé à l’école russe par un mentor d’exception et au conservatoire. Après toute une vie consacrée à l’étude des plus grands compositeurs, Charles s’est exilé quelques temps au Canada pour créer une œuvre complète formidable, utilisée notamment dans un cadre audio-visuel, pour les besoins du cinéma et de la télévision. Reconnu de ses pairs et des amateurs de musique classique, il se consacre aujourd’hui essentiellement à la transmission de son savoir et (car je le sais) à la recherche de celui ou de celle qui sera digne de recevoir ses enseignements de « maître Jedi »… (rires). J’ai beaucoup de chance de l’avoir comme ami et nous nous vouons une admiration réciproque. Il a bien évidemment participé à une série d’articles qui lui ont été consacrés sur Rich and Co Editions.
L’actu :
En attendant la parution prochaine de « Kalache », premier recueil de Richard Palachak aux éditions Black-out, ses « Fragments de Nuit, Inutiles et mal écrits », un avant-goût en quelque sorte…
Photo de Simon Woolf.
Richard Palachak : Une chouette vidéo, réalisée grâce à mes amis Artistes qui ont collaboré au projet Rich and Co. Vidéo à regarder jusqu’au bout (surprise) et avec du bon son. Si je vous l envoie, c est que je crois en votre sensibilité artistique. Grobi. Rich (n hésitez pas à partager)
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De la Mongolie sur Radio Mongol I’ !
C’est l’une des sections du 24ème FICA de Vesoul, Regard sur le cinéma de Mongolie : Passé – Présent.
Le montage d’une yourte mongole, la projection de 16 films entre 1935 et 2010, choisis sur environ 235 visionnés, sur 400 conservés dans le pays. Il y aura des inédits hors Mongolie, des films restaurés ou numérisés grâce au financement de l’Ambassade de France en Mongolie. Le pays qui adhéra très vite au régime de l’URSS sans en faire partie a bénéficié dès les années 1930 de la force de frappe technique cinématographique de la Russie. Les premiers films proposés en sont empreints.
Bastian Meiresonne, cheville ouvrière du FICA, a travaillé durant un an cette programmation. En partenariat avec Mongol Kino (agence et studio d’Etat), Bastian recevant pour sa tâche la rare distinction « équivalente des Arts et Lettres en France » par la Mongolie.
Jigjidsuren de son prénom Gombojav de son nom, aux allures islandaises, est la référence, et clé de voûte de cette sélection. Ce réalisateur bel et bien mongol sera présent, pour la projection prévue de 3 films de 1990-91 : Larmes de stèle, Ruines tièdes et Traces d’une existence. La seconde œuvre est d’ailleurs le coup de cœur sans conteste de notre directeur artistique belge responsable de la venue du cinéaste figurant parmi ses artistes préférés. Cet opus imaginé par un poète, Ruines tièdes, nous parle d’un monde post-apocalyptique, où après un cataclysme subsistent seuls trois êtres humains : un père et ses deux filles. La question de la survie de l’espèce passerait par l’inceste, une voie philosophique angoissante et immorale qui ne cesse d’interroger le programmateur, avec une issue non dévoilée. Bref, c’est bien un belge qui incite Vesoul à la fantaisie, l’ouverture et l’art, clin d’œil au Grand Jacques en passant. Il l’affirme « chaque décennie et genre sont représentés » lors de ce Regard sur le cinéma de Mongolie.
Outre la présence d’intervenants et spécialistes de cette terre étonnante de cinémas, il y aura une chanteuse et interprète, Myagmarsuren B. pratiquant le lyrique comme la pop et forte de 8 albums depuis 2003 seulement.
Cette fois encore, votre cœur battra pour la Chine ou encore la Syrie à l’honneur sur ce FICA, mais le pays de Gengis Khan vous ravira, du moins à travers la toile, avec quelques films exceptionnels sur la lutte (Garid Magnai / L’Aigle fier, le lutteur, 1983),
l’urbanisation comique d’Harmonica (1963) en première internationale, ou Khusel Shunal / Passion documentaire de 2010 affranchi de Mongol Kino à ne pas manquer.
Toute cette présentation est réalisée par Màxim Pozor en reportage audio en écoute ici, d’une durée de 36 minutes, avec Bastian et Jean-Marc Thérouanne récemment interrogés. Vous y trouverai en fond sonore la chanteuse interprète Myagmarsuren B.
En fin d’écoute, nos deux compères nous livre leurs coups de cœur à 8 jours de l’ouverture du cru 2018 sur l’ensemble du festival (90 films) en patience de la prochaine publication qui évoquera deux autres axes explorés : la Syrie du cinéaste M. Malas et du photographe Z. Abdelkafi,et les Paroles de femmes (29 productions avec notamment The Lady de Luc Besson ou Quand une femme monte l’escalier, japonais de 1960). Avec la Syrie, par son passé, son rayonnement, la présence française (1919-47) et la francophonie subsistante, Jean-Marc, avisé, nous suggère son goût pour Les Rêves de la ville, qui narre l’histoire d’un enfant à Damas en 1984, découvrant le monde urbain dans ce pays inventeur de la cité il y a près de 5000 ans.
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Publié dans Arts Visuels, Cultures - Société, mongol
Mots-clés : "Je suis de là je suis d'Alep", Alep, Bastian Meiresonne, cinéma, Europacorp, FICA, Garid Magnai, japonais, Jigjidsuren Gombojav, Khusel Shunal, L'Aigle fier, Larmes de stèle, le lutteur, Luc Besson, Mohamad Malas, Mongol Kino, Mongolie, Myagmarsuren B., Passion, Quand une femme monte l’escalier, Ruines tièdes, Syrie, The Lady, Traces d’une existence, vesoul, Zakaria Abdelkafi
RichAndCo
L’hiver sera aussi littéraire, à fourmiller… Si l’été est cigale à chanter et danser !
Avec Richard, un partenariat naît, un partenariat concret et c’est la flamme d’une bougie de mots qui va danser tout doux pour cette saison ouvrée ou verte !
Il y a cette passion commune pour Charles Bukowski qui nous lie, lui et moi, en sus de cette ville « natale » qu’est Vesoul, bowling des âmes saoules !
Pierre qui roule n’amasse pas mousse mais Johnny !
Et j’en rie ! Deux égéries, deux bonnes nouvelles pré-hivernales, d’Ormesson et Hallyday/Smet, ne sont plus… Même si nous préférions Ferrat sur RMI’Z, ce qui est fait n’est plus à faire. Chaque bonne nouvelle connait son revers, pour d’Ormesson c’est de savoir que sa mère lui avait appris à honorer chacune de ses correspondances ouvertes, pas de lettre sans réponse ; mauvaise nouvelle je n’ai jamais écrit cette lettre à Jean. Pour Jean-Philippe, la mauvaise chose est qu’il ne m’a jamais rencontré ! Rock’n’Roll et surtout BLUES normal hivernal ..!
Nous devons tout de même à Johnny, par demande puis refus de paroles et musiques l’Amicalement Blues HFT/Paul Personne !
Ouh yeah, yé ! Bonne cheminée et boules de neige à chacun sur les quais du Grand Froid Electrique !
_________________________________________
Richard est originaire de Slovaquie et a atterri à Vesoul. Il est écrivain. Voici un entretien de celui dont le parcours a débuté comme poète édité dans sa jeunesse au niveau régional, puis au niveau national en tant qu’auteur de nouvelles et de romans aux éditions Black-out. Aujourd’hui, il publie également des ballades artistiques sur son webzine culturel Rich and Co Editions, où il se consacre entièrement à la mise en lumière d’autres artistes, venus de France ou d’Europe, en collaboration avec eux, dans des univers aussi variés que la peinture, la sculpture, la photographie, la littérature, le tatouage, les arts urbains et alternatifs, etc…
Dàrio : à quel âge as-tu commencé à lire sérieusement? Peut-on parler de capital culturel (familial)?
Richard Palachak : je m’en souviens précisément. J’avais à peine 13 ans. Le déclic, ç’a été lors de vacances en Bretagne avec le père (J.) d’un ami (B.), et toute une ribambelle d’enfants. C’était un personnage très charismatique, un papa freudien, avec la stature patriarcale, le gros ventre et la barbe blanche… Il m’a confié le recueil de nouvelles « Deux amis et autres contes » de Maupassant et j’ai vécu une sorte de révélation… Pour le capital culturel je ne sais pas, la question mériterait une thèse…
Dàrio : quand as-tu commencé à écrire ? De la poésie d’abord ? Et peux-tu me décrire tes débuts en tant qu’édité ?
Richard Palachak : ainsi me raconter comment en être venu à éditer ? Au collège, comme je suis arrivé tardivement en France, j’étais une bille en français. Mais bizarrement en poésie, j’obtenais toujours la meilleure note, au grand désespoir des premiers de la classe. Quant à l’édition, c’est une histoire de rencontre humaine je crois. La relation éditeur/écrivain a quelque chose de passionnel et de réciproque. Il y a une alchimie qui se crée et qui est inexplicable. Sinon, je ne suis pas un éditeur proprement dit. La Plate-forme interculturelle Rich&Co Editions porte le nom d’édition pour se différencier des blogs d’Art et de Littérature. Notre contenu est exclusif et collaboratif. On crée des articles qui sont quelque part des œuvres à part entière, co-construites avec les artistes que l’on publie de manière exclusive et originale. C’est en cela que l’on peut se permettre de s’appeler Editions.
Dàrio : quel est ton top dix, cinq ou trois de livres ?
Richard Palachak : sans hésiter :
-
Voyage au bout de la nuit de Céline,
-
Les contes de la folie ordinaire de Bukowski
-
et Sur la route de Jack Kerouac.
Mais il y en a beaucoup d’autres…
EXTRAIT :
Fragments de Nuit, inutiles et mal écrits (49) :
« Un mélange d’avancement trop rapide et de passé immuable, où les buildings côtoient des vestiges médiévaux et le gigantisme soviétique des quatre voies en lacets bouclés. Puis des blocs administratifs d’entreprises du monde entier, le château et son Stare Mesto pittoresque, un océan d’immeubles déglingués à perte de vue, le beau Danube bleu qui vire au marron sous la pollution des picaillons européens, des centres commerciaux féroces et titanesques, des usines de tout et de rien et surtout de partout, des zones d’activité cyniques et démesurées, les fameux trams et trolleys rouges plus explosifs et plus forcenés que jamais, les bagnoles toujours plus fumeuses et les antennes relais toujours plus populeuses, et les éoliennes vertigineuses qui poussent sur le terreau moisi la piétaille empressée, du bordel et du bruit, des odeurs acres et des visions stroboscopiques, autrement dit le futurisme malhonnête et la nostalgie artificieuse, le tout gribouillé sur un même faux papier jauni de liseuse numérique dégénérée, convulsionnant l’avenir dans la nuit du Nouveau Monde. » Richard Palachak
Dàrio : peux-tu me parler et identifier ton travail avec Black-Out éditions ?
Richard Palachak : la rencontre entre un éditeur et un écrivain est affaire de connectivité et d’affect réciproque. J’adore le travail de Black-out Editions, et je pense que mon éditeur apprécie également le mien. Actuellement, on réalise une chronique hebdomadaire sur le site de la maison d’édition tous les mardis, « Les Fragments de Nuit, inutiles et mal écrits », en collaboration avec mon ami photographe Simon Woolf (dont je suis un fan absolu). Un recueil de Nouvelles sortira en début d’année 2018 (toujours illustré par Simon Woolf) et la suite en 2019. Après on verra, on se laisse porter. Il y a plein de projets, d’idées possibles et imaginables. J’ai déjà 2 romans d’avance et mon éditeur a plus d’un tour dans son sac. Je suis persuadé que l’histoire ne fait que commencer.
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Publié dans Liens, RADIOGRAPHIE