"L'avantage de la radio sur le cinéma, c'est qu'à la radio l'écran est plus large." Orson WELLES. _________<<<——<< média tout culturel poético-philosophique >>——>>>_________
EN SOMME POUR NOUS MONGOLS BILLET D’HUMEUR PAS TRÈS SÉRIEUX : « MÉDIOCRATIE MÉDIACRITÉ »…
On ne peut pas dire que La Terreur soit une période bien exaltante de l’Histoire de France, pourtant, comme la Commune (de Paris), passionnante autant que cruelle, elle a bel et bien existé… Ces deux périodes ont en commun qu’elles sont encore très occultées dans l’inconscient collectif.
Le roi de France serait à l’origine de l’encouragement et de l’établissement (intronisation) de la machine conçue pour une mort instantanée, aboutie, après une atroce torture mentale des couloirs de la mort… lancée le 1er décembre 1789 (par suggestion de son créateur officiel, docteur et député, devant l’Assemblée Nationale…)
Merveille de notre époque internet, ce site, qui répertorie les guillotinés de la Terreur :
Voici donc notre revue internet, d’article, d’historicité, cette fois nous ne faisons pas semblant de philosopher de pacotille sur ce blog, nous livrons juste un peu d’hISTOIREs crues (ce dont mérite peut-être ce pays fatigué et manipulé… La sagesse, elle s’est envolée depuis fort longtemps…) :
Côté « romance » avec encore un film à la Lecomte… :
Plus intéressant déjà, le film « 1788 », réalisé par Maurice Failevic [« 1788 » qui ne traite justement pas du sujet… mais de la « pré »-révolution (en petites lettres !)]:
La France peut se targuer d’avoir abolit la peine de mort, elle l’a rendue sérielle près de 200 ans plus tôt…!
Pour terminer avec la royauté, il serait intéressant de connaitre le détail de la mort de Louis XVI, un mouchoir ponctionnant son sang et « bénissant » la foule avec, hautement symbolique, comme pour conjurer le droit divin, l’aspect religieux… (théorie soralienne…)… :
Bref voici pour un article volontairement peu fouillé, pour vous inciter à vous documenter par vous-même.
Antoine Louis est le réel chirurgien inventeur et concepteur…
Pour notre premier article presque politique…:
Impasse faite sur Giscard ou Mitterrand pour rester proche de la Cinquième République, il y a une citation de N. Sarkozy qui est tombée dans l’oubli, dure à retrouver dans les méandres du net et dans le flot des paroles « politiques » :
à peu près : « les français ont coupé la tête du roi… et de la reine », évoquant son propre « règne » son couple naissant avec Carla Bruni.. Mégalomanie de la folie calculée !
En somme pour nous mongols Billet d’humeur PAS très sérieux : « médiocratie médiacrité »…
La « der des ders » ‘ (comme Julien Lepers, là où j’en suis resté…!), encore une de bien vendue, et chacune bien nommée, depuis les chocs pétroliers nous sommes entrés dans l’ère des guerres pacagées.
L’Histoire cycle et l’homme recycle (l’Histoire est science humaine). L’ennemi que l’on nous vend, donne, pourrait être ce migrant dont les conditions de fermeture des frontières ouvriraient un nouveau front mondial, fracture et cicatrice ; un remake de 1914, « façon puzzle » et non plus « macédoine des peuples »… Du même épicentre : l’Autriche-Hongrie.
« Les horreurs de la « der des ders » leur avait appris la valeur de la vie et que finalement, la grande Europe était une utopie… » tu écris, certes, elle n’était pas encore un projet étasunien ! [Nous avons un article sur Pierre Jovanovic par ici…]Rothschild family n’avait pas mis le cap sur les states, … cette même famille que l’on soupçonne d’avoir fabriqué le commerce des armes et l’état de Première Guerre Mondiale ; d’où ma référence à la fin du XIXè et à Sherlock Holmes dans la première partie (précisément le scénario de « Jeu d’ombres », film 2 de Guy Ritchie…(Clin d’œil aux mouvements anarchistes d’époque, au dérèglement des sens opéré par le héros…)
Une guerre pour justifier la fabrication d’armes, redessiner les lignes mouvantes d’un Empire du fric et réguler sa population, son bétail, décimer une classe d’âge… La Serbie est d’actualité en 1914, l’Angleterre, la France, l’Autriche-Hongrie, l’Allemagne de Weimar va naître … Ces pays sont encore sources de soucis cent ans plus tard… Une guerre pour maquiller le pouvoir du fric en appellation de nations… Et le pays de la bannière étoilée prospère à peine stabilisé n’avait encore aucun intérêt ou destin à jouer dans cette Europe moribonde, sans que l’on lui supplie.
« (…) Paradoxalement, c’est en voulant imposer le concept alors nouveau de l’über-mench, que les nazis ont validé pour toujours la profonde aversion de l’homme pour sa supériorité intellectuelle, en se réduisant à la condition des animaux lambdas, qui se foutent sur la gueule pour protéger un terrier, ou voler celui de leurs congénères. » Tout juste !
Les nazis ont inventé le remplacement de l’être humain par un numéro, le tatouage et l’empilement… Le libéralisme puritain américain perpétue et pousse encore plus loin cette idée. Ces mêmes américains, leaders politiques et commerciaux et militaires, avaient d’abord laissé faire Hitler à volonté… Pour une grande Europe unie.
« (…) tous morts et incrédules… (…) n’apparaissent aucunement dans mon agenda. « la France est en guerre… » nous dit souvent le gouvernement, mais pour l’instant, c’est pas les militaires qui tombent le plus…(3 morts pour un an et demi d’opération Serval, 82 pour une heure et demie de concert…)… » Tout juste et froid dans le dos..!
Oui ce sont les drames, il faut croire et applaudir … Il faut payer au prix fort. Si tu n’as pas de croyance, tu n’es plus cet homme numéroté ou tatoué, … alors tu n’existes plus ! [Rappel de l’article de Morgan… : La Guerre Ontologique…] Si tu n’achètes pas et ne consommes pas les lessives de la conscience et les poisons en tous genres (nourritures, cosmétiques, apparats…) dont tu disposes grâce à ton POUVOIR d’achat d’esclave dont tu mendies les chaînes, tu n’existes pas.
Nous sommes Verdun, oui, en première ligne, et devons vivre pour en crever dans d’atroces souffrances !
A. Soral écrit dans « Comprendre l’Empire » le fait que la démocratie, par le suffrage universel, est un moyen malin d’imposer les décisions par l’adhésion d’au moins 50% des citoyens + 1 (ici citoyens = les croyants, les votants) ; véritable dictature, tumeur, populaire, donc de la majorité… caressée et enculée dans le sens du poil…
Pour terminer, tu as raison, complotons, mon cher… Ou dé-complotons, selon !
16/02/2016 Surprise épistolaire et personnelle, surtout lettre des tripes étendues aux conflits et constats… Je l’ai découverte et lue hier. [Je l’ai illustré arbitrairement, rapidement, de mon imagerie.]
Parfois d’accord, parfois non. Reprenons.
Un an déjà ? « Mon con » ! Présent ! « Vieil aigri » à 30 ans pour ta part ? Au regard de nos riches vies et existences, c’est peut-être souhaitable…
Quant aux dialogues, ils peuvent fort heureusement être temporels, via articles et cet « outil » web…, dont nous nous sommes dotés par notre association de personnes. Le dialogue nait de l’amitié. Il se sublime parfois avec la dive bouteille, mais tes déboires de boire ne l’empêche en aucun cas. [Déboire DUB WAR = hommage pour ma part à Yerban Kuru (groupe ami des années 2000) avec qui j’ai ensuite participé, stérilement et « samplement votre », au projet Le Carnet des Curiosités avec d’anciens membres… Souvenir avec cette vidéo… Ou encore cet extrait du Màxim Pozor RING CIRCUS…] Voici pour la branlette…!
Avec l’outil RMI’z, nous le tenons ce dialogue (jamais désaccordé), car je ne suis en rien l’exemple : avec l’alcool (rappelons la référence à ton article) la parole se distord, la cohérence aussi. Combien en ai-je gâché..? Par loisir de croyance au pilotage automatique dans le domaine de l’interview et de la rencontre… Le cadre sécuritaire que tu cites me fait peur, je l’ai tant fuit, pfuiiit…, ainsi nous nous accidentons. Notre génération, bercée par pléthore de références culturelles (si je ne devais retenir qu’une ce serait Téléchat : « Chalut ! ») est forcément plus débile que ses précédentes et plus réfléchie que les plus jeunes… Rappelons un autre article de ton cru : La Jeunesse..!
J’aime aussi ces époques citées : – XIXè siècle et révolution industrielle – années 20, années folles. Le confort est un outil aliénant, de la guerre de 1914 je retiens l’émergence du mouvement DADA (c’est très mode pour un courant anti-tout à raison…), mais aussi cette giga-boucherie inutile pour le compte du progrès et de la régulation…
Ainsi chaque ‘après-guerre’ mondiale et reconstruction paraissent des moments sympathiques…, sans oublier 1871-1914, …
Tes références à Nietzsche et au sur-homme me parlent, je parlerais aussi de l’esprit Sherlock de cette époque fin XIXè…, mais le surhomme a été pillé et trahit par le nazisme… Là où je diverge d’avec toi, c’est sur ta désignation de « l’ennemi », aujourd’hui méditerranéen… moi je dirais l’ennemi de toujours est toujours le voisin…! Ce qui revient au même ! Tu es juste, avec franc-parlé et panache ! Malheureusement le « digestif fatal » dont tu parles sera pour nous et pas pour les cons que tu évoques..!
Loin d’avoir répondu, c’est une première partie, je te laisse pour suivre Julien Lepers et sa dernière presta…. Encore une branlette pour dire que je reprendrai avec la suite « D’où venons-nous? Qui sommes-nous ? Où allons-nous ? » évoqué par Gauguin, aujourd’hui je réponds Vesoul, et je laisse à Julien Lepers la réplique avec cette vidéo folle ! Bien à toi, à suivre !
Ce n’est plus la branlette qui doit dominer mais l’Amour… Plus grandissant que l’amitié et l’art !
Pas loin d’un an sans t’avoir vu, et mon con, je réalise qu’il me manque quelque chose. Certes, le dieuFacebook me permet de te contacter, mais, je suis un vieil aigri, et les cybers dialogues ne me suffisent plus.
Le pire dans cette situation, c’est que c’est entièrement ma faute si nos rendez-vous ne sont plus possibles, à cause de mon gosier trop souvent sec, de mon être dépourvu de volonté et de mon véhicule dépourvu de pilotage automatique.
Bref, je vais pas te redire que je m’estime être le plus bas des humains, car tu sais trop mon point de vue sur ma personne et je te sais aussi faire partie des accidentés de la vie, qui au milieu de ce monde qui tombe à la renverse, se trouvent aussi inutiles que des parapluies au milieu du désert.
Pourtant, on avait tout pour être heureux, confort capitaliste, sécurité familiale, tous ces trucs qui ont évolué avec le temps, et qui peut-être faisait rêver nos anciens. Mais avec le recul, j’en arrive à me demander quelle génération est la plus heureuse. Est-ce la notre, avec les avantages cités plus tôt? Les transports modernes raccourcissant les distances? Les médocs et autres vaccins, nous permettant de survivre à une vilaine coupure? Ou peut-être est-ce une autre génération, celle des années folles, où la culture et le pacifisme étaient la réponse à la grande boucherie de 14-18? Bien sûr, il n’était pas question de réfrigérateur, de radiateur, d’ordinateur, et tous ces mots qui se terminent pareils et sont souvent synonymes de qualité de vie, même sans tout ça, cette génération a connu le « bonheur »… Il y avait encore beaucoup de territoires inexplorés, que se soit en médecine, sciences, ou géographie. Les horreurs de la « der des ders » leur avait appris la valeur de la vie et que finalement, la grande Europe était une utopie…
Mais chaque bon moment voit sa fin trop vite arriver, et quand le ciel vint à s’assombrir du vol des Stukas, nos vieux réalisèrent et à perpétuité, que l’homme est mauvais, qu’il soit Français, Autrichien, ou Japonais. Paradoxalement, c’est en voulant imposer le concept alors nouveau de l’über-mench, que les nazis ont validé pour toujours la profonde aversion de l’homme pour sa supériorité intellectuelle, en se réduisant à la condition des animaux lambdas, qui se foutent sur la gueule pour protéger un terrier, ou voler celui de leurs congénères.
Je sais, cette histoire à 70 ans, mais je trouve qu’on en est toujours au même point. Sauf que « l’ennemi », n’est plus teuton, il est méditerranéen, mais les deux ont un point commun, leur rage assassine et implacable est le fruit de trop d’humiliations, et leur capacité d’action, le fruit d’accords souterrains avec les grandes puissances qui leur mettent des baffes en public tout en leur caressant le chibre sous la table. Et dans ce grand dîner de cons, les convives se régalent de cette remise en place des choses, sans se douter que le digestif va leur être fatal. Hips.
Bien sûr, la guerre est aujourd’hui propre et privatisée, personne ne va venir m’arracher à mon pétrin pour me coller un FAMAS dans les mains et m’ordonner d’aller bouffer du plomb pour sauver une démocratie déjà morte, mais c’est peut-être pire…me retrouver avec « deux abeilles de cuivre chaud » dans le bide, allongé au milieu d’un tas de mes semblables, tous morts et incrédules… Et tout ça parce que comme d’habitude, il nous fallait du pétrole, il nous fallait de la fraîche pour une campagne électorale, pis on a pas pu agir parce que si on faisait ça, on allait faire capoter je ne sais quel plan des USA qui au bout de 60 ans, n’ont toujours pas capté que les russes ne baisseront jamais leur froc, bref, tant de choses qui n’apparaissent aucunement dans mon agenda. « la France est en guerre… » nous dit souvent le gouvernement, mais pour l’instant, c’est pas les militaires qui tombent le plus…(3 morts pour un an et demi d’opération Serval, 82 pour une heure et demie de concert…)…
Tout ce que je vois, c’est que le monde c’est Verdun, les politiques, des généraux à l’arrière, et nous autres, pauvres citoyens, sommes les poilus d’une bataille sans fin…Un parallèle est même possible entre les traumatisés du front, qui à l’époque se faisaient traiter de simulateurs, alors que c’est leur corps entier qui refusait de les emmener à la bataille, et ceux d’aujourd’hui, à qui leur conscience leur dit de ne pas suivre le troupeau et que les gens biens appellent « complotistes »…
Enfin, j’arrête là pour aujourd’hui, j’ai une bière à finir. Amitiés désabuées et sincères.
Ertzin.
PS: Depuis quelques jours, j’ai peur de prendre le bus, j’attends une loi qui garantira mon entière sécurité pour venir te voir…
C’est dans les vieux pots que l’on fait la meilleure, la bonne, confiture !
Ainsi, votre serviteur Dàrio revient des cendres de feu Radiobing.org pour lancer un nouveau site d’infos tout culturel, RMIz… Différent de ce magma de news ruminées, sans intérêt REEL et surtout à régurgiter… Le but redevient d’innover avec un journalisme chez soi-même, en soi et in situ.
Notre seule éthymologie, nous la trouvons chez un chercheur et trouveur d’or ou de mots… :
Nous avons choisi collégialement, associative-ment, avec une nouvelle équipe (deux personnes ! car à plus on est une bande de c… disait à raison Brassens), une équipe donc de vieux pots, de rendre hommage à un artiste fascinant de droiture et gage de qualité culturelle : HFT, ( dit « le vieux » par mégarde, que je voudrais Diogène philosophe ultime en sa caverne ) Hubert-Félix Thiéfaine, en l’occurrence son titre « un vendredi 13 à 5h »
[Thiéfaine riposte à la luxueuse rumeur de sa disparition avec ce titre, (génialement arrangé par le compère Claude Mairet…) Rallumer la lumière de vos écrans sur des choses rares, des gens trop méconnus, (songe à Illuminations/Rimbaud)…]
L’équipe susdite se compose donc de Herr mister Ertzin et de moi-même Dàrio, votre serviteur…
Ainsi nous saluons cette obsession de la poésie et du chiffre, une dose de philosophie moderne et contemporaine conduira notre ligne éditoriale, nous éloignant je le souhaite des débats politiques, pour mener d’autres campagnes de connaissances.
Enfin, au commencement est également la rencontre, nos entretiens privilégiés verront jour ici-même, sur le Grand Froid Electrique, l’écran, l’Internet, RMIz… (à venir François Corbier, Morteau Morille, Jean-Hugues Anglade, etc… surprises sur prises !)
Une certaine critique de la jeunesse a fondé notre envie entre vieux sur cette antenne, une radio écrite, nous traiterons alors de quelques dossiers, thématiques, exercerons une véritable Radiographie de nos vies, envies, … enquêtes !
Zéro pub, contre promotion amicale, rencontres et paroles… Essayons de déjouer le paraître… mais rester narcissique à travers le miroir de l’écran et prendre les paris de poésie et de la philosophie (les philosophies et arts de vies). Zéro matériel quasiment, réduits au minimalisme, zéro revenu, zéro moyen, j’ai voulu tester une théorie que je pense soulevée par Jim Morrison (mais dont je ne retrouve encore pas référence) : le zéro absolu. Philosophie certainement empreinte de Nietzsche, sauce Jim, qui voudrait que tout homme puisse recommencer sa vie à tout moment, chose qu’il théorisa, que le fantasme voudrait accompli par lui, la légende seulement, mais laissons planer ce doute, RMIz incarne un certain ZERO !
Cher lecteur, entre ici si tu comptes plutôt muscler que reposer tes méninges et neurones, ou encore les remuer… L’Emotion est-elle première ?