Retour aux bonnes habitudes, celles de célébrer l’artiste qui a inspiré ce média… Ainsi, l’idée apparaît comme évidence : les citations et représentations du cheval dans l’œuvre d’Hubert-Félix Thiéfaine..! Quelle idée ! Malheureusement cet article restera une ébauche et pas une thèse étudiante… Sans logiciel analysant toutes les paroles des chansons de l’homme, nous nous pencherons sur un simple surf lié à certaines connexions de souvenirs de textes marquants.
C’est un nouvel angle d’attaque de notre icône Mongol commun comme nous l’avons fait avec calendriers ou thèmes du parrain virtuel RMI’Z, passion commune des fondateurs Ertzin et moi-même votre humble serviteur…
Ma grande idée du présent serait de défendre le vin biodynamique contre les sulfites, à l’image de la célébration du « cheval, compagnon de labeur » à la charrue dans la vigne, par exemple… Ainsi je replace le canasson en meilleur ami de l’homme au détriment du descendant du loup…
Cet aparté me tient à cœur :
« Le cheval compagnon de labeur » évoque le passé, ce fut une exposition aux Archives départementales de la Haute-Saône, un livre s’y rapportant et une série d’entretiens audios que j’eus avec un très ancien de Colombier en semi patois… où celui-ci m’évoquait l’importance et la valeur dans l’agriculture ou le transport de l’équidé avant et pendant la Seconde Guerre Mondiale, réquisitionné d’office plutôt que le bœuf dans ce village par les allemands occupants. Le plan Marshall, l’avènement du tracteur américain, l’assassinat de l’agriculture a épuisé le cheval et l’agriculteur… donc tous les atouts du continent européen…
Et puis si le cheval est un ami, bien élevé, bien nourri et aimé alors on peut le manger ! Miam ! C’est aussi de l’amour ! Ne soyons pas hypocrites, nous avons été formatés dès notre enfance à cette éventualité avec le copain Poulain ! Ah ah!
Bref, trêve d’avis personnels, revenons à nos moutons, ou plutôt notre sujet annoncé, sans s’égarer.
LE Cheval CHEZ HFT :
1980:
SCORBUT :[chanson mignonne, tradition paillarde, pour les filles de la Rochelle ! ] à 2minutes 20 : « (…) cheval deux trois » référence au Cheval de Troie dans la construction musical du morceau…: 1, 2, 3, quatre …!
Nous aurions pu évoquer avant ce titre sur l’album précédent « la fille du coupeur de joint » fameuse « (…) sur un chariot chargé de paille, sur un chariot chargé de foin (…) » que l’on présumerait tiré par un équidé… Tout cela pour finir à « (…) pédaler dans les nuages au milieu des petits lapins (…) », lapin qui pourrait être un animal totem tout autant comme dans l’intro de la chanson « comme un chien dans un cimetière » … etc… [Et côté bestiaire, gros faible pour le dernier album avec « En remontant le fleuve » et cette idée saumonée de la vie…].
1982:
LES DINGUES ET LES PAUMÉS :
« (…) mon cheval écorché
m’appelle au fond d’un bar (…) »
Voici une mystérieuse évocation et il faut absolument ne pas tout expliquer et entretenir des mystères ici-bas….
Document de choix, exceptionnel, par notre ami collègue Michel Buzon…
Courte interview de Thiéfaine par Michel Buzon + CLIP « Les Dingues et les Paumés » 1982 (extrait de l’album « Soleil Cherche Futur » : https://itunes.apple.com/fr/album/sol…) Paroles : Hubert-Félix Thiéfaine / Musique : Claude Mairet (arrangements, guitare, percussions électroniques & choeurs) / Orgue et piano Fender : Gilles Kusméruck
Retrouvez Thiéfaine sur son site officiel : http://www.thiefaine.com
ou sur sa page Facebook : https://www.facebook.com/hfthiefaine
ou sur twitter : https://twitter.com/hfthiefaine
ou sur Instagram : https://instagram.com/hfthiefaineLes dingues et les paumés jouent avec leurs manies
Dans leurs chambres blindées, leurs fleurs sont carnivores
Et quand leurs monstres crient trop près de la sortie,
Ils accouchent de scorpions et pleurent des mandragores
Et leurs aéroports se transforment en bunkers,
À quatre heures du matin derrière un téléphone
Quand leurs voix qui s’appellent se changent en revolvers
Et s’invitent à calter en se gueulant « come on ! »Les dingues et les paumés se cherchent sous la pluie
Et se font boire le sang de leurs visions perdues
Et dans leurs yeux-mescal masquant leur nostalgie
Ils voient se dérouler la fin d’une inconnue
Ils voient des rois-fantômes sur des flippers en ruine,
Crachant l’amour-folie de leurs nuits-métropoles
Ils croient voir venir dieu ils relisent Hölderlin
Et retombent dans leurs bras glacés de baby-dollLes dingues et les paumés se traînent chez les Borgia
Suivis d’un vieil écho jouant du rock ‘n’ roll
Puis s’enfoncent comme des rats dans leurs banlieues by night,
Essayant d’accrocher un regard à leur khôl
Et lorsque leurs tumbas jouent à guichet fermé,
Ils tournent dans un cachot avec la gueule en moins
Et sont comme les joueurs courant décapités
Ramasser leurs jetons chez les dealers du coinLes dingues et les paumés s’arrachent leur placenta
Et se greffent un pavé à la place du cerveau
Puis s’offrent des mygales au bout d’un bazooka
En se faisant danser jusqu’au dernier mambo
Ce sont des loups frileux au bras d’une autre mort,
Piétinant dans la boue les dernières fleurs du mal
Ils ont cru s’enivrer des chants de Maldoror
Et maintenant, ils s’écroulent dans leur ombre animaleLes dingues et les paumés sacrifient Don Quichotte
Sur l’hôtel enfumé de leurs fibres nerveuses
Puis ils disent à leur reine en riant du boycott :
« La solitude n’est plus une maladie honteuse
Reprends tes walkyries pour tes valseurs maso
Mon cheval écorché m’appelle au fond d’un bar
Et cet ange qui me gueule : « Viens chez moi, mon salaud »
M’invite à faire danser l’aiguille de mon radar
SOLEIL CHERCHE FUTUR :
« (…) et je traine les PMU avec ma gueule de bois (…) »
2001:
LES FASTES DE LA SOLITUDE (album « Défloration 13″) :
« (…) Joseph d’Arimathie & Uther Pendragon Chevauchent de vieilles juments au bord de l’extinction (…)«
Joseph d’Arimathie & Uther Pendragon ces deux personnages sont imaginaires, qu’en est-il alors de leurs vieilles femelles cheval..? Je vous laisse imaginer une extinction légendaire !
Pour ce titre est également question de Dürer et de sa gravure « Le chevalier, la mort & le diable », mais nous revenons plus loin dans cette page à propos du « DICOTHIÉFAINE »…
- Chant : Hubert-Félix Thiéfaine
- Guitares, Claviers : Franck Pilant
- Guitares : Hugo Ripoll
- Basse : Roberto Brio
- Batterie : Marcello Surace, Régis Ceccarelli
- Chœurs : Franck Pilant, Maïdi Roth, Manuel Bachet
Les fleurs de rêve obscur secrètent de noirs parfums
Dans la féerie marbrée des crépuscules forains
Théâtre d’harmonie / panorama lunaire
Aux délicieuses lenteurs de cortège funéraire
Où les âmes nuageuses nimbées de sortilèges
S’évaporent dans l’ivresse glacée d’un ciel de neige
Banquises phosphorescentes & bleue mélancolie
Qui projette ses violons sur d’étranges rhapsodies
Aux étranges accords sous d’étranges latitudes
Qui te révèlent les fastes de la solitudeLes femmes-oiseaux perdues dans leurs sombres dimanches
Ont sorti leurs précieux colliers de souris blanches
& dansent la sarabande frivole des courtisanes
A la mémoire d’amants noyés dans leurs arcanes
Odeurs de mandarine & rafales de cannelle
Mélodies cristallines & vapeurs d’arc-en-ciel
Là–bas sous un tilleul, à l’ombre d’une fontaine
Notre-Dame de la nuit distribue l’oxygène
& le septième cercle de la béatitudeTe révèle les fastes de la solitude
La princesse aux camées fait blinder sa pâleur
Pour franchir les spirales du miroir intérieur
Pétales rapaces d’une hydre aux yeux de tarentule
Dans le tumultueux chaos des particules
Mandalas schizoïdes & soupirs féminins
Sur les claviers bulbeux des orages clandestins
Sépultures de valium pour voyageurs-vampires
Errant dans les sargasses d’un océan martyr
& le doute qui ravage même tes incertitudes
Te révèle les fastes de la solitude
Joseph d’Arimathie & Uther Pendragon
Chevauchent de vieilles juments au bord de l’extinction
& cherchent l’asile de nuit au milieu des pylônes
Rouges-iguane & oranges brûlés des soirs d’automne
Leurs druides au bec-bunzène en livrées de valets
Te préparent un cocktail dans leurs tubes à essai
Plus rapide qu’une Aston dans les mains de Shelby
Tu reprends l’avantage au treizième Martini
& l’ineffable attrait pour les bars d’altitude
Te révèle les fastes de la solitudeLe chevalier, la mort & le diable s’enfuient
Des pinceaux de Dürer pour absorber la nuit
Tandis que Mélusine aux longs cheveux défaits
T’organise une party dans la brume des marais
& dessine sur ton membre une cartographie
Des ténèbres où t’attendent quelques maillons maudits
Puis traverse le désert jusqu’à la Thébaïde
Où la fée méridienne de tes éphémérides
Extirpant ton sourire poisseux de l’habitude
Te révèle les fastes de la solitude
Et à propos d’Uther Pendragon, dans notre culture populaire moderno-télévisée, comment ne pas songer au formidable travail d’Alexandre Astier…: KAAMELOTT !!!
2005:
CONFESSION D’UN NEVER BEEN (album « Scandale Mélancolique« ) :
(ma référence équestre préférée touchant à la folie de Nietzsche)
2014:
AMOUR DÉSAFFECTÉ : (album « Stratégie de l’inespoir« ) :
Si cet article est né c’est bien sûr pour ce titre issu du dernier album … »Amour désafecté« .
Il y a cette image désuète de chevaux, saisis en pleine course, « au pied de l’arc en ciel »… Comment ne pas voir ce papier peint ou calendrier des postes des années 1970-80 en couleurs…(?) comme renvoyant au titre « Médiocratie » du même album mais avec un soleil glorieux …
« (…) devant toutes ces news qui nous soûlent
ces flashs qui nous anesthésient
DJ God a perdu la boule
& mixe à l’envers nos envies
devons-nous croire à un réveil
dans l’au-delà des jours fériés
avec la photo du soleil
brillant sur nos calendriers ? (…) »
La chose dite abstraite, métaphore nostalgique, est embellie par l’art d’écriture de monsieur H-F THiéfaine… La musique signée J-P NATAF n’en fait pas trop, dosant ce qu’il faut pour nous transporter dans cette course désertique rythmée et mélodique. Aucun apitoiement, juste un constat sans drame d’une expérience de vie aussi rodée fut elle.
Auteur: Hubert-Félix Thiéfaine
Compositeur: Jean-Philippe Nataf
Editeurs: Lilith Erotica,Malifusic
les chevaux sont partis courir
là-bas au pied de l’arc en ciel
ils emportent le souvenir
de nos baisers chargés de fiel
les chevaux sont partis courir
je crois que je vais faire pareilla rouille fait grincer les couleurs
dans le matin à contre-jour
nos regards en apesanteur
fixent le point de non retour
la rouille fait grincer les couleurs
& bloque les issues de secoursc’est juste la fin maintenant
d’une histoire qui tombe en poussière
c’est juste la fin maintenant
d’un amour sinistre & désertinutile de nous retourner
sur les raisons de nos mensonges
de nos certitudes incrustées
au plus profond creux de nos songes
inutile de nous retourner
sur le mal caché qui nous rongec’est juste la fin maintenant
d’une histoire qui tombe en poussière
c’est juste la fin maintenant
d’un amour sinistre & désert
c’est juste la fin maintenant
d’une histoire qui tombe en poussière
c’est juste la fin maintenant
juste la fin maintenantles chevaux sont partis courir
là-bas au pied de l’arc en ciel
les chevaux sont partis courir
je crois que je vais faire pareil
Et puis sur le site officiel d’HFT, il est mis à disposition un outil formidable, le « dicothiéfaine » qui relate quelques définitions extraites de sa flore crânienne…:
LEXIQUE :
En « C », pas d’entrée « cheval », on passe de « Chancre » à « Chirouble »…:
Chancre : 1. Ulcération qui marque le début de certaines infections (maladies vénériennes, maladies infectieuses). Chancre syphilitique, lépreux. Chancre mou: chancrelle. 2. Maladie des arbres, provoquée par un champignon, qui détruit l’écorce et réduit le bois en pourriture. Syn. ulcère.
Chirouble : Cru du Beaujolais.
Avant « Ch » on trouve le très intérressant Caroussel :
Carrousel : n. m. 1. Tournoi, parade où des cavaliers exécutent des joutes, des courses, des exercices divers. Lieu où se donne un carrousel. Un carrousel bruyant d’automobiles. 2. Dispositif de manutention constitué par un plateau, des éléments, etc., tournant autour d’un axe vertical. Carrousel de distribution des bagages d’une aérogare.
Puis on peut aussi s’amuser à trouver ces définitions suivantes :
Licorne : 1. Animal fabuleux, cheval à longue corne unique implantée au milieu du chanfrein. 2. Licorne de mer : narval.
Dürer : (Albrecht) (Nuremberg, 1471 id., 1528), peintre et graveur allemand. Unissant styles italien et flamand, il est le type même de l’homme de la Renaissance, tourmenté toutefois par l’inquiétude religieuse. Bien qu’il soit un coloriste raffiné (l’Adoration de la Sainte Trinité, 1511), le graveur surpasse le peintre et l’aquarelliste par la précision et la force de son dessin: 15 planches de l’Apocalypse (bois, 1498); le Chevalier, la Mort et le Diable; Saint Jérôme dans sa cellule et Mélancolia (cuivres, 1513-1514).
Enfin il est fait référence aux mots « cheval » et « chevalerie » ici aussi :
Hybride : 1. Animal ou végétal qui résulte du croisement de deux sujets d’espèces différentes. Le bardot est un hybride de cheval et d’ânesse. Caractère hybride: chez les êtres vivants diploïdes, caractère que gouverne une paire de gènes allèles mutés l’un par rapport à l’autre. 2. Mots hybrides, formés de radicaux empruntés à des langues différentes. «Bigame», formé du latin «bis» et du grec «gamos», est un mot hybride. 3. Qui utilise à la fois le calcul numérique et le calcul analogique, en parlant d’un matériel informatique.
Mélusine : personnage fabuleux, fille d’une fée, qui pouvait se métamorphoser partiellement en serpent. Les romans de chevalerie et les légendes du Poitou font d’elle l’aïeule et la protectrice de la maison de Lusignan.
Et après Thiéfaine, voici les évocations en 5 chansons pour 4 artistes français de notre ami solipède…
GEORGES BRASSENS / PAUL FORT
1953
Le poème de Paul FORT mis en musique par Georges BRASSENS demeure aussi quelquechose des plus émouvants pour la poésie française, présenté traditionnelement aux enfants et formant à la mélancolie et au tragique.
Ainsi toute leur « relation » est magnifique…
Document d’exception par cette étude liée ICI.
JACQUES BREL
Dans son écriture et interprétation florissante, le cheval est légion…! Cependant ces quelques vers, et cette chanson, qui m’émeuvent particulièrement, sur son ultime opus… « La ville s’endormait » [sorti en 1977 chez Barclay]… où l’on peut trouver un clin d’œil à Jean Ferrat chahuté sur un désaccord misogyne du Grand Jacques à découvrir par soi-même.
« (…) et mon cheval boueux et mon cheval qui boit et moi qui le regarde (…) »
La ville s’endormait
Et j’en oublie le nom
Sur le fleuve en amontUn coin de ciel brûlait
La ville s’endormait
Et j’en oublie le nom
Et la nuit peu à peu
Et le temps arrêté
Et mon cheval boueux
Et mon corps fatigué
Et la nuit bleu à bleu
Et l’eau d’une fontaine
Et quelques cris de haine
Versés par quelques vieux
Sur de plus vieilles qu’eux
Dont le corps s’ensommeilleLa ville s’endormait
Et j’en oublie le nom
Sur le fleuve en amont
Un coin de ciel brûlait
La ville s’endormait
Et j’en oublie le nom
Et mon cheval qui boit
Et moi qui le regarde
Et ma soif qui prend garde
Qu’elle ne se voit pas
Et la fontaine chante
Et la fatigue plante
Son couteau dans mes reins
Et je fais celui-là
Qui est son souverain
On m’attend quelque part
Comme on attend le roi
Mais on ne m’attend point
Je sais depuis déjà
Que l’on meurt de hasard
En allongeant les pasLa ville s’endormait
Et j’en oublie le nom
Sur le fleuve en amont
Un coin de ciel brûlait
La ville s’endormait
Et j’en oublie le nom
Il est vrai que parfois près du soir
Les oiseaux ressemblent à des vagues
Et les vagues aux oiseaux
Et les hommes aux rires
Et les rires aux sanglots
Il est vrai que souvent
La mer se désenchante
Je veux dire en cela
Qu’elle chante
D’autres chants
Que ceux que la mer chante
Dans les livres d’enfants
Mais les femmes toujours
Ne ressemblent qu’aux femmes
Et d’entre elles les connes
Ne ressemblent qu’aux connes
Et je ne suis pas bien sûr
Comme chante un certain
Qu’elles soient l’avenir de l’hommeLa ville s’endormait
Et j’en oublie le nom
Sur le fleuve en amont
Un coin de ciel brûlait
La ville s’endormait
Et j’en oublie le nom
Et vous êtes passée
Demoiselle inconnue
À deux doigts d’être nue
Sous le lin qui dansait
https://youtu.be/vB5isaB32QA
Tagada..!
https://fr.wikipedia.org/wiki/Valkyrie
« (…) Dans l’art moderne, les Valkyries sont parfois décrites comme étant de belles vierges montant des Pégases, ornées de casques et armées de lances. Cependant, le cheval de la Valkyrie était un kenning de loup (voir Rök Stone), donc contrairement aux stéréotypes, elles ne montaient pas de Pégase. Leurs montures étaient plutôt des hordes de loups qui traînaient au milieu des corps de guerriers morts. Ces loups étaient de macabres combattants. Tandis que le loup est la monture de la Valkyrie, celle-ci semble être apparentée au corbeau, animal apparaissant fréquemment dans la mythologie nordique (notamment Hugin et Munin, les deux corbeaux perchés sur les épaules d’Odin). Volant au-dessus du champ de bataille et « choisissant » des corps, et surveillant les neuf mondes pour Odin. Les hordes de loups et de corbeaux ayant ainsi nettoyé les lendemains de batailles pourraient avoir été là pour servir de plus grandes causes.
L’origine des Valkyries en général est incertaine, mais plusieurs Valkyries connues semblent avoir des parents mortels.(…) »
https://youtu.be/QinQthAKbm8
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