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Archives pour la catégorie Cultures – Société
Mon cher Dàrio…
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Publié dans Côté Mongol, Cultures - Société, RADIOGRAPHIE
Mots-clés : attentats, correspondance, france, Paris 2015
Hommage @ PARIS PANAME 2015…
CECI EST UN HOMMAGE à PANAME, la ville de la Commune, CECI EST UN HOMMAGE à PARIS, une vision anarchique, photographique, culturelle et musicale….
Chacun sait et connait les tragédies que notre capitale de France a connu depuis janvier jusqu’au vendredi 13 novembre dernier… Jamais Paname n’avait connu telle humiliation et gravité dans un laps de temps si restreint depuis 1940.
[PETITE revue de presse et photo de la devise parisienne remobilisée dans la rue et les médias…]
RMI’z se voulait de rendre hommage à la capitale de la diversité, de la jeunesse, de la lumière… par une série par centaines de photographies urbaines de Paris et ses banlieues, (ses faubourgs comme on dit !) de 2004 à 2015… par Màxim Pozor…
Cet hommage est bel et bien photographique, comme le périple ou l’assaut d’un provincial à Paris, comme des millions de français ou parisiens…
Des épisodes, des visions, un hommage anarchique et graphique, un hommage à l’Histoire de la ville, à sa jeunesse qui fronde et sort de bon cœur…
L’hommage est culturel, patrimonial, humain, urbain ; enchevêtrements d’âmes-sons, chatouillements d’yeux et panorama parisien à go-go !
Retour en 2004, Versailles (exposition des relations Chine-France au XVIIIè), 13è & Batofar, mais aussi Montparnasse….
On poursuit en 2007, en juin, c’est assez aléatoire comme hommage, vision urbaine, du 7ème arrondissement cossu à la banlieue d’Arcueil en Val de Marne (94)… en passant par le cimetière de Passy face à la Tour Eiffel…, librairie, arts de rue….
Toujours le Val de Marne, avec Marne la Vallée, Eurodisney, Hard Rock Café… et le futebol…
PARIS intra-muros, essentiellement 10è & 20è arrondissements, toujours juin 2007…
PARIS intra-muros 17è & 18è, Montmartre et son cimetière, mais aussi Choisy-Le-Roi (94) & Chelles en Seine et Marne, toujours juin 2007…
Décembre 2007, aléatoire, flâneries de rues, esprit Bobo, créa en tout genre, du Marais à Montparnasse, quelques galeries, Paris tenu…
Petit Mix sonore musical 98 minutes par Màxim POzor
LONDON PARIS mai 2007…
Petit Mix sonore musical 47 minutes par Màxim POzor
LONDON PARIS mai 2007…
Petit Mix sonore musical 28 minutes par Màxim POzor
LONDON PARIS mai 2007…
JAVA…Métro :
TRIPTIK…PANAME :
MONTREUIL, septembre 2009, rues bien nommées, brocantes du centre et de quartier, et un antiquaire… Montreuil coloré… et locaux de Siné.
PARIS 17è & 18è & Plaine St-Denis… mai 2010, autour du pôle « mode et médias », anciens entrepôts de vêtements, studios musiques et télévisions, écoles audiovisuelles… & la rue…
En vrac, octobre 2010, Babylon Joke au Batofar, quais de Seine, 13è et intra-muros…, Ourcq, 20è, métro…
Dans notre fouillis de Paris, la ville crasse et lumineuse, des paradoxes en pluie, voici octobre-novembre 2010… il y a de tout, des sorties au Nouveau Casino (dont une soirée avec Kaly Live Dub, du métro, de l’intra-muros, du Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), du tram, Porte de Saint-Cloud un petit hommage au photographe tchèque Saudek, la salle Le Zèbre à Belleville, ou le Piano Vache, les groupes Yules, B-Roy et sa bande, Rodolphe Raffali la peintre Alex T….
Toujours du vrac et en ordre aléatoire pour cette galerie, février-mars 2011, Boulogne-Billancourt (92), Paris Intra-métro, La Villa Mais d’Ici (Aubervilliers)…. et l’Essonne (Palaiseau), toujours le pôle magnétique sur Seine que constitue le Batofar (13è)…ou encore le stade de Charléty pour quelque partie de rugby (Stade Français – USAP)… Paris, agglomération tant de sorties musicales que sportives..!
Avril-Mai 2012, entre deux tours de présidentielles, deuxième ou premier dimanche… quartier Bastille, La Scène Bastille, Tom Moretti & Zaki Groove… avant un départ humanitaire pour l’Afrique...
Juin – Juillet 2013
L’année de la braise..!
De La Main d’Or (Passage dans le 11è), du tableau d’un squat en très proche banlieue parisienne, de l’aéroport de Roissy, de l’ouverture de La Défense Jazz Festival 2013 (29 juin Ibrahim Maalouf + Salif Keita [qui fit trembler les immeubles des grandes entreprises dont les pétroliers basés sur le parvis et la dalle du coin !]…), du centre commercial La Défense « 4 temps », d’une ballade sur les quais d’Ourcq, et d’une journée associative à Montreuil 30/06/13 (Les fameux « murs à pêches »…!)
Décembre 2013
Vinyles’design, Place de la République & Main d’Or style…
Avril 2014
Belle lumière & sale ambiance !
Jeux de guerre, spectacles, fêtes étudiante russophone, Olivier Sauton, Norig Aux Petits Joueurs, Chelles en Seine-Et-Marne, Exposition Kurt Cobain (20 ans après sa mort) dans un Paris huppé, le boulodrome du XVè…
Juin 2014
Autour du solstice d’été 2014… du 21 juin, VIIè arrondissement, l’Ukraine, l’Algérie, le Mexique à Paname, la coupe du monde de football 2014, l’Opéra Garnier, Abbesses, Olivier Sauton, Place Vendôme ou encore le salon Emmaüs « too much » Porte de Versailles…
Novembre 2014
D’abord deux vues de l’Opéra Garnier (vers la Place Vendôme), puis quelques vues du 13ème arrondissement, à l’occasion de l’exposition du comtois Rubbish à la galerie Mathgoth, aux abords de la BNF, l’occasion de redécouvrir un quartier rénové, (dont les anciens abattoirs) si proche du Batofar sur-fréquenté par le photographe, ainsi que de Bastille et des spectacles parisiens…
à suivre…
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Publié dans Arts & Lettres, Arts de scène, Arts sonors, Arts Visuels, Côté Mongol, Cultures - Société, RADIOGRAPHIE
Mots-clés : 13è, 17è, 18è, 2015, 20è, 7è arrondissement, 91, 92, 93, 94, Abbesses, Arceuil, arts de rue, attentats, AUbervilliers, Aux Petits Joueurs, Avril, Babylon Joke, Bastille, Batofar, Belleville, BNF, Boulogne-Billancourt, Charléty, château de Versailles, Chelles, Chine, Choisy-Le-Roi, Coupe du monde de football 2014, cultures, devise, Emmaüs, Essonne, Ferré, fluctuat, fluctuat nec mergitur, football, ibrahim maalouf, jazz, Kurt Cobain, La Défense, La Scène Bastille, la Villa Mais d'Ici, le Piano Vache, Le Zèbre, London, Main d'Or, MathGoth, mergitur, Montreuil, murs à pêches, musiques, nec, Norig, Olivier Sauton, Opéra Garnier, Palaiseau, Paname, Paris, parisienne, plaine Saint-Denis, Rodolphe Raffali, Rubbish, rugby, salif keita, Seine et Marne, Siné, soleil, sports, Tom Moretti, Triptik, vendredi 13, Versailles, ville lumière, Vinyles, visions, Yules, Zaki Groove
Aux arbres et cætera…
Voici une série d’émissions radio consacrées aux arbres, leurs symboliques, leurs emplacements et leurs bienfaits reconnus, jusqu’à être considérés sacrés… un peu partout dans le monde.
La chance m’a été donnée de pouvoir réaliser en 2012 ces émissions précises avec Rémy Leloup (ingénieur en bois retraité), dont le parcours fait autorité dans ce domaine. [Source Fréquence Amitié Vesoul, Haute-Saône, Franche-Comté, France, pour expliquer l’exotisme de ces émissions : « causerie » d’après M. Leloup : ici les deux premières émissions consacrées aux cinq continents sur le sujet des arbres sacrés… peut-être une suite viendra.]
Sycomores, chênes, cerisiers, mélèzes … tout ceci n’aura plus de secret pour vous ! Bonne écoute.
Une émission… la première… 58 minutes
Choix musicaux d’illustration en chansons :
- « L’amandier » Maxime Le Forestier chante Georges Brassens
- « Auprès de mon arbre » Renaud chante Georges Brassens
- « Bûcherons » Bérurier Noir live Québec 2006 d’après Pierre Ronsard
- « Les ombres du soir » Hubert-Félix Thiéfaine
- « Vous êtes un arbre » SDA
émission… SECONDE… 64 minutes
Choix musicaux d’illustration en chansons :
- « Des jours entiers dans les arbres » Dick Annegarn
- « Le diable, ça va » Jacques Brel
- « Comme un arbre dans la ville » Maxime Le Forestier
- Musique percussions d’Afrique
Quelques données [source wikipedia],les arbres sacrés ouvrant la réflexion sur la symbolique « universelle » de chacun :
Quelques arbres
On peut vouloir traduire, allégoriquement, un arbre sur le plan de la qualité, du sens : par exemple, chêne = majesté. Bien entendu, cet exercice est risqué, peut-être même sans signification, parce que les symboles ont plusieurs sens (parfois même contraires), parce que les symboles changent de sens selon les cultures, parce que le sens d’un symbole n’est jamais indépendant des symboles qui l’entourent (le chêne comme symbole change de sens selon qu’il est confronté au bouleau ou au hêtre).
Selon Pierre-Émile Rocray
Voici quelques arbres symboliques, d’après Pierre-Émile Rocray, « ingénieur forestier et responsable de la Maison de l’arbre du Jardin botanique de Montréal ».
La colombe tenant une branche d’olivier est un symbole de paix largement utilisé.
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L’Acacia. On dit que l’arche d’alliance était en bois d’Acacia plaqué d’or, et que la couronne d’épines du Christ provenait de ce même arbre. Dans la pensée judéo-chrétienne, cet arbuste au bois dur et presque imputrescible, aux épines redoutables et aux fleurs arborant les couleurs du lait et du sang, est un symbole de renaissance et d’immortalité.
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L’Amandier. Signe de la renaissance de la nature, cet arbre à la feuillaison printanière est aussi un symbole de fragilité car ses fleurs, ouvertes dès l’arrivée du printemps, sont sensibles au gel tardif. Chez les Grecs, l’amande pressée était comparée à la semence de Zeus, en tant que puissance créatrice. On affirme même que l’Amandier remonte directement à ce Dieu et que son fruit peut féconder une vierge indépendamment de l’union sexuelle. Selon une croyance qui tient encore en Europe, la jeune fille qui s’endort sous un Amandier en rêvant à son fiancé, peut soudainement se réveiller enceinte.
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L’Aubépine. On accordait à cet arbre des pouvoirs permettant de détourner la foudre, de conserver la viande, d’empêcher de faire tourner le lait et d’éloigner les serpents ; d’où des plantations fréquentes d’Aubépines à proximité des granges et des étables.
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Le Bouleau. Les chamans de la Sibérie vantaient les vertus thérapeutiques de cet arbre des régions froides et tempérées. Ils n’hésitaient pas à monter dans ses branches pour mieux entrer en contact avec les Dieux de l’autre monde. On peut également s’interroger sur les raisons inconscientes qui font autant apprécier le Bouleau comme arbre d’ornement, une essence qui, pourtant, ne possède pas une grande espérance de vie et qui, mis à part sa beauté esthétique, offre plus d’inconvénients que d’avantages en ornementation. S’agit-il de sa blancheur, un symbole de pureté, ou de l’extrême finesse de sa ramure qui rend cet arbre si attirant ?
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Le Chêne. Arbre sacré dans de nombreuses traditions, le Chêne est investi de privilèges accordés à la divinité suprême parce qu’il attire la foudre et symbolise la majesté. En tout temps et en tout lieu, le Chêne est synonyme de force et de solidité. C’est du moins l’impression qu’il laisse quand il atteint sa maturité. Notons que le bois du chêne a la propriété d’être incorruptible, alors ne soyons donc pas étonnés d’apprendre que les termes « chêne » et « force » se traduisent en latin par le même mot : robur, symbolisant autant la force morale que physique. Il est le symbole de l’arbre de vie, le salut ainsi que les figures allégoriques de la Force et de la Prospérité. Le chêne est aussi l’arbre consacré à ******* dans la mythologie classique où de grands chênes croissent dans la forêt de Dodone, en Épire, qui est consacré à l’oracle de ce dieu, et est l’un des plus anciens sanctuaires grecs.
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Le Cyprès. Cet arbre sacré chez de nombreux peuples, grâce à sa longévité et à sa verdure persistante, est également nommé « Arbre de vie », à l’instar du Thuya. Chez les Grecs et les Romains, le Cyprès est en rapport avec les divinités de l’enfer. Il est l’arbre des régions souterraines, d’où sa présence remarquée dans plusieurs cimetières du bassin de la Méditerranée. Le cyprès est l’un des attributs de la figure allégorique du Désespoir : elle en tient une branche dans la main droite car, de même que le cyprès ne repousse pas s’il est coupé, l’homme en proie au désespoir finit par annihiler en lui toute possibilité de cultiver le courage et la Vertu.
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Le Frêne. À l’instar du Chêne, le Frêne est un symbole de solidité puissante. On en faisait des hampes de lances. Dans les traditions scandinaves, cet arbre symbolise l’immortalité et sert de lien entre les trois niveaux du cosmos. Dans les anciens pays baltes, l’homme étourdi et un peu niais est qualifié de frêne car il est considéré comme aveugle. En effet, ne sachant pas quand vient le printemps, il reste longtemps dénudé. Tandis qu’à l’automne, craignant de paraître ridicule à nouveau, il est le premier à se dépouiller rapidement de toutes ses feuilles.
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L’Olivier. La richesse symbolique de cet arbre est abondante: récompense, purification, force, paix, victoire, fécondité. Consacré à la Déesse grecque Athéna, l’Olivier l’était également au Dieu romain *******. Un mythe raconte que Neptune et Minerve, se disputant la possession de l’Attique se présentent devant l’assemblée des Dieux. Ces derniers décident de confier la région à celui qui offrira le don le plus précieux. Le dieu de la mer frappa un rocher avec son trident et fit jaillir une source pendant que la déesse fit naître un Olivier. Ainsi Minerve remporta la victoire et cet arbre lui fut consacré. Il est devenu symbole de paix sans doute parce que la déesse est la figure guerrière opposée à Mars. Il faut aussi se rappeler que vers la fin du déluge, une colombe rapporta une branche d’Olivier vers l’arche de Noé. Selon une vieille légende, la croix du Christ était fabriquée de Cèdre et d’Olivier. Dans le langage du Moyen Âge, cet arbre symbolisait l’or et l’amour.
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L’Orme. Cet arbre a toujours détenu des pouvoirs surnaturels. Dans la France du Moyen Âge, il était appelé « l’arbre de la justice » parce que c’était sous sa canopée que les seigneurs et les juges rendaient leurs jugements. On savait l’Orme capable de guérir diverses maladies cutanées, dont la lèpre. Les guérisseurs enlevaient des morceaux d’écorce d’Orme pour concocter des remèdes contre le rhumatisme.
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Le Peuplier. Cet arbre propre à l’hémisphère boréal tire son nom du mot latin populus et de l’ancien français poplier, deux termes qui signifient « Peuple ». La légende dit que c’est l’Arbre du peuple puisque ce serait sous des Peupliers que celui-ci prenait autrefois des décisions importantes. Depuis l’Antiquité le peuplier a une connotation funèbre. Pline l’Ancien rappelle que les défunts étaient recouverts de peupliers noirs. Le graveur Vincenzo Cartari, au xviie siècle, note que le peuplier est considéré comme un arbre infernal parce qu’il croît sur les rives de l’Achéron. Lorsque Hercule descend aux enfers afin de s’emparer du chien Cerbère, il s’enveloppe le crâne de rameaux de peuplier, qui blanchissent au contact de la sueur dans sa partie inférieure et noircissent par les fumées infernales en sa partie supérieure.
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Le Pommier. Il se trouve au centre de plusieurs croyances, dont celles de procurer la sagesse, d’améliorer les connaissances et d’acquérir l’immortalité. Son fruit est identifié depuis très longtemps comme un fortifiant et comme un remède préventif contre la maladie. À cet effet, souvenons-nous du vieux proverbe anglo-saxon: An apple a day keeps the doctor away.
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Le Sapin. On dit que le Sapin empêchait la foudre de tomber et conjurait les mauvais sorts. En Allemagne, on flagellait autrefois les femmes durant le mardi gras, avec des branches de cet arbre, dans le but de leur permettre d’avoir des enfants.
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Le Saule. Une croix faite avec deux rameaux de Saule, que l’on jetait dans l’eau d’une source sacrée, permettait de connaître l’imminence ou non de sa mort. Une croix flottante annonçait une mort certaine dans les mois suivants. Celle-ci était cependant éloignée si la croix coulait ; plus éloignée encore si elle atteignait rapidement le fond de l’eau. Le phénomène apparaît toutefois contradictoire quant à la mort associée à la flottaison plutôt qu’à la disparition de la croix. L’image du saule a une connotation négative depuis l’Antiquité, probablement parce que les fruits de cet arbre tombent avant qu’ils ne soient mûrs. Dans l’Odyssée, Homère signale cette particularité. Lorsque Ulysse prend congé de Circé, la magicienne lui indique comment atteindre l’Hadès : « Quand ton vaisseau arrivera au bout de l’Océan, tu trouveras un rivage plat et les bois sacrés de Perséphone : hauts peupliers noirs et saules qui perdent leurs fruits. Echoue là ta nef, près de l’Océan aux profonds remous ;toi, entre dans l’humide demeure d’Hadès. » La croyance selon laquelle le saule est infécond est répandue dans l’Antiquité, Pline l’Ancien la mentionne aussi. À la renaissance, la stérilité présumée du saule inspire la représentation de la figure allégorique de la Disette. Cesare Ripa la décrit comme une femme émaciée, mal vêtue, debout à côté d’une vache maigre et tenant, de la main droite une branche de saule et dans la main gauche, une pierre ponce, toutes deux considérées comme stériles. Car Ripa explique que : « la stérilité est la raison principale de la disette ».
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Le Laurier. Ovide raconte comment la nymphe Daphné, est métamorphosée en laurier pour avoir échappé à l’amour d’Apollon qu’elle ne payait pas en retour. Depuis cet arbre est consacré au Dieu du soleil. Dans la Rome antique, le laurier est consacré à *******. Selon la doctrine chrétienne, le laurier est à la fois symbole d’éternité, car il est toujours vert et de chasteté car ses feuilles ne se flétrissent jamais. C’est surtout à la renaissance que se diffuse l’image allégorique de la Victoire, figure féminine ailée qui remet une couronne de laurier au vainqueur ou lui pose sur la tête.
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Le Genévrier. Apollonios de Rhodes décrit comment Médée aide Jason à s’emparer de la Toison d’or en endormant le dragon en lui administrant une potion issue du genévrier. Le genévrier est aussi associé à la chasteté, car comme la châtaigne est protégée par sa bogue, la baie de genièvre est protégée par ses feuilles. Pline l’Ancien signale aussi que le bois de genévrier n’est pas attaqué par les vers et qu’il a la propriété de ne pas dépérir. Celui-ci donne l’exemple d’un temple consacré à Diane, en Espagne, bâtit avec des poutres de genévrier, deux cents ans avant la guerre de Troie et est encore en parfait état à son époque. C’est pour cela, sans doute, qu’il est aussi associé à l’éternité.
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Le Palmier. Il signifie la victoire, la renommée, le triomphe sur la mort. Il symbolise le martyre, la Vierge Marie et l’Asie. Depuis l’Antiquité le palmier est attribué au mythe du soleil pour évoquer la gloire et l’immortalité, en raison de la disposition harmonieuse de ses branches et de ses feuilles semblables à des rayons. La branche de palmier est offerte a vainqueur comme emblème de victoire. Dans certaines légendes Romaines la branche de palmier est signe de bon présage. Horace raconte que Rhéa Silvia voit en songe Romulus et Rémus peu avant d’accoucher, sous l’aspect de palmiers aux branches majestueuses se dressant vers le ciel.Il est à noter que en botanique le palmier n’est pas un arbre, mais une plante.
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Le Myrte. Arbrisseau consacré à Vénus car selon Ovide, c’est de son feuillage que la déesse de la beauté, née de la mer, couvre sa nudité, le jour où elle aborde l’île de Cythère. Une autre légende rapporte que Bacchus, devant se rendre aux enfers pour libérer sa mère Sémélé tuée par le foudre de *******, promet d’y laisser un myrthe en échange. D’où la signification funèbre de l’arbrisseau. Malgré tout, le myrthe a toujours été chargé d’une valeur positive et consacré à Vénus, est devenu un symbole de fécondité : durant le banquet des noces, les jeunes époux portent habituellement une couronne de myrthe sur la tête. Pline l’Ancien appelle cet arbrisseau myrthus conjugalis. Un rameau de myrte est parfois représenté dans la main du prophète Isaïe en vertu de ce passage de son livre : « Au lieu d’épines croîtra le cyprès, au lieu d’ortie croîtra le myrte ».
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Le Lierre. Le lierre est avec la vigne, l’un des attributs de Bacchus, dieu du vin et de ses suivantes, les Ménades : il entoure leur thyse ou, tressé en couronne, il ceint leur tête. Ovide raconte que Bacchus, aussitôt après sa naissance, est confié aux nymphes deNysa, qui dissimulent son berceau en le recouvrant de lierre pour le soustraire de la colère de Junon. En effet, l’enfant est né de l’union clandestine de ******* et Sémélé. Notons que le lierre en décoction a les propriétés d’atténuer les effets de l’ivresse. C’est probablement une des raisons pour laquelle le lierre est associé au dieu du vin. Le fait que le lierre soit une plante grimpante qui pousse en embrassant le tronc des arbres le rapproche de l’idée symbolique de l’amour éternel et de fidélité.
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La Vigne. La vigne est assez fréquente comme motif ornemental dans l’architecture sacrée et l’art. Elle est l’attribut des figures allégoriques de l’Automne, du mois de septembre, de la Joie, de l’Entraide, de la Solidarité conjugale et de l’Amitié. La vigne est aussi l’un des attributs de Bacchus, dieu du vin et ses suivantes le Ménades. Dans les représentations des bacchanales et du cortège du dieu, les participants ont la tête ceinte de couronnes tressées de sarments et de feuilles de vignes. Le cep de vigne et son fruit sont fréquemment cités dans les Ecritures et sont généralement considérés comme des symboles du Christ, du sang versé lors de son sacrifice et de l’eucharistie. Dans un célèbre passage de l’Evangile de Jean le Christ affirme : « Je suis la vrai vigne ».
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Le Blé. Le blé est le fruit de la terre par excellence. La mythologie antique raconte comment Cérès en fait don à l’homme après avoir retrouvé sa fille Proserpine. Les allégories de l’Eté et des mois de juin et de juillet ont souvent pour attributs des épis ou des germes de blé16. Celle de l’Abondance est représentée sous les traits d’une femme aux bras chargés de gerbes de blé ou tenant une corne d’abondance d’où débordent des épis.
REVUE DE PRESSE WEB :
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Arbres sacrés au Japon [Sakura House]
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PDF Les arbres sacrés comme attributs des dieux … partie 3 ! [racines.traditions.free.fr]
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Les arbres sacrés celtes [http://www.angelfire.com/wi3/magicia/Arbres.htm]
-
Les arbres sacrés [http://encyclopedieberbere.revues.org/2577]
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Publié dans Côté Mongol, Cultures - Société
Mots-clés : arbre, arbres sacrés, bois, celtes, Leloup, mort, mythologie, sycomore, vie
Un calendrier 2015 : philosophies, musiques et pin-up’s! (2ème semestre : 6 éphémérides)
HISTOIRE DU NOM DES MOIS OCCIDENTAUX- CALENDRIER ROMAIN:
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Juillet : deux interprétations possibles : altération de l’ancien français juignet « juillet » proprement « petit juin » et du lat. julius (mensis), nom du 7e mois de l’année (proprement « mois de Jules, en l’honneur de Jules César, né dans ce mois, réformateur du calendrier romain) », le gn de juignet passant alors en ll de juillet.
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Août : du lat. augustus, « consacré par les augures », substitué en l’honneur de l’empereur Auguste à Sextilis (mensis) (qui est le sixième mois après le printemps).
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Les mois de septembre (de septem (mensis) : septième mois), octobre : lat. october (mensis) « octobre, huitième mois de l’année romaine » (dér. de octo : « huit »), novembre (novem : « neuf » ) et décembre (lat. class. december, dér. de decem : « dix », décembre étant le dixième mois de l’année romaine) ne se comprennent qu’en commençant l’année à l’équinoxe de printemps, au mois de mars.
Le second semestre se profile alors, poursuivons ce jeu calendaire « funky-philosophique ». L’année 2015 grignotée de sa moitié, arrivent alors les 6 derniers mois, deux saisons et demie.
Ainsi donc me basant sur un calendrier apostolique-romain, comme au premier épisode 2015, puis au second voici quelques allégations personnelles et illustrées.
Juillet pour JULIUS
Juillet serait donc référence à Jules César (Caius Iulius Caesar IV à sa naissance, Imperator Iulius Caesar Divus après sa mort ; autre titre : dictateur !). Son dernier jour est resté célèbre pour avoir été victime d’un attentat de la part de son « fils » Brutus.
Tout bonnement nous le choisissons ici en pin-up du mois :
[Source : http://aguillon.info/tag/cesar]
Pourquoi Caius JULIUS CAESAR a-t-il donné son nom à un mois de l’année, au même titre que Janus (janvier), Mars, Aphrodite (avril) et Junon (juin), divinités gréco-romaines ?
Parce que cet homme qui fut tout-puissant à Rome (imperator ou général en chef, homme politique, pontifex maximus ou grand prêtre, et dictateur à vie) est devenu un dieu !
Côté musique, de l’historique….
René Binamé en 1996 : « Juillet 1936 » et le soulèvement catalan contre le fascisme franquiste.
Le 19 Juillet 1936, alors que les fascistes organisent un coup d’État contre la République espagnole, les ouvriers prennent les armes pour les en empêcher. Mais, loin d’eux l’idée de défendre la République, ils organisent la Révolution sociale et montre au monde entier, qu’ils est possible de reprendre sa vie en main ! René Binamé rend hommage à ces miliciens de la Liberté et de l’Anarchie !
Et puis un incontournable Thiéfaine, occasion d’un de ses rares clips, « Le Touquet Juillet 1925 » (en rapport à la construction de l’Hôtel des Postes du Touquet Paris-Plage ouvert en 1927 [?], aux courses de l’hippodrome du Touquet en 1925 [?] bien avant les congés payés de 1936 ; Peut-être Ertzin saura-t-il nous le dire…? ) : « (…) le soleil joue sur nous (…) ». Juillet appelant le soleil…
… Le soleil appelant juillet, profitez-en !
Niagara, « l’amour à la plage » mais repris par le farfelu Eddy La Gooyatsh..!
Août pour AUGUSTUS
Août pour un empereur des plus fameux parmi les guerriers, et des bonnes comme des mauvaises augures…
Jouons un peu… La source bateau mais fournie… :
Wikipédia (sic) nous apprend (…) »néanmoins le rapport de 1990 sur les rectifications orthographiques recommande l’utilisation de la graphie « aout », sans accent circonflexe.
Mais l’orthographe avec accent est prépondérante, et encore largement utilisée. »
(…)
«
Historique
Son nom vient du latin Augustus, nom donné à ce mois en l’honneur de l’empereur romain Auguste en 8 av. J.-C.. Avant lui, dans l’ancien calendrier romain, août était le sixième mois de l’année et portait le nom de sextilis (de sextus, sixième).
(…)
En 8 av. J.-C., l’empereur romain Auguste décida d’ajouter un jour au mois d’Août, qui porte son nom, pour en avoir 31, soit autant que le mois de Juillet, qui lui était appelé ainsi en l’honneur de Jules César.
Ce jour a été soustrait au mois de février, qui à l’époque était le dernier de l’année.(…)
Traditions religieuses
Dans la religion catholique, le mois d’août est le mois du cœur immaculé de Marie, qui est intimement uni au Sacré-Cœur du Christ présent dans l’Eucharistie.
(…)
»
J’ajoute alors, pour Marie, se rendre aussi au mois de mai où elle s’incruste…
Puisque je n’écrirai pas sur les étoiles et les astéroïdes cette fois, pour le mois d’aout qui le mérite en récurrences…
Et puis il y a ces « augures » donc, mot intéressant.. comme dirait l’autre participatif :
« Augustus » signifie « consacré par les augures », ce qui correspond à une quasi-déification. Il est devenu en quelque sorte celui dont la volonté est celle des dieux. En effet les augures étaient des sacrificateurs chargés de lire les signes du destins. La consécration par les augures tend à identifier le Prince à l’agent de la Fortune elle-même, à en faire l’homme du Destin. Après la christianisation de l’Empire, cette titulature nouvelle sera ensuite identifiée au pouvoir impérial romain sans lien apparent avec l’ancienne religion. »
Allez musique !! Ce n’est pas Wiki qui me la souffle…
SEPTEMBRE !
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INSECTOPIA – Jeu de Rôle – création ludique
Insectopia, voici le nom choisi par ses créateurs pour un jeu de rôle qui se place comme nouveauté créée il y a peu dans ce secteur.
Découvrez-y un monde « nouveau » pourtant inspiré de notre fin en tant que race humaine, où l’échelle de l’héroïsme y est volontairement réduite et étendue à la micro/macro aventure.
Choisissez votre caste, apprenez, et partez en quête de solutions plutôt écologiques pour comprendre les traumatismes de votre nouvel écosystème ! Un biotope où vos pouvoirs personnels ne seront pas de trop pour arriver à vos fins.
Ils sont donc une belle équipe motivée, innovatrice, passionnée dans le domaine.
Et ils proposent alors un manuel de jeu dont on peut découvrir les crédits ci-dessus, ayant suscité imagination, illustrations, cartographie de l’aire d’évolution des joueurs-insectes.
Tout y est expliqué, décortiqué et créé pour l’épanouissement des divers personnages et maîtres de jeu ou dieux qui interagissent.
Voici donc leur présentation et calendrier pour l’association Somni Semen :
Le Projet
L’association Somni Semen
L’association Somni Semen (Graines de rêves) est une association de type loi 1901. Elle réunit neuf passionnés de jeux de rôles autour d’une idée : concevoir des jeux de qualité, destinés à être édités.
Nous sommes un groupe de rôlistes hétéroclite, chacun possède ses qualités de jeux et son propre style. Tous meneurs de jeu, mais tous différents puisque certains excellent dans l’action et le suspens, d’autres la baston, l’intrigue et les jeux de cours, l’enquête ou l’horreur. Nos projets reflètent cette diversité de style de jeux, qui ne sont pas pour nous antinomiques. Un jeu de rôle doit pouvoir apporter des possibilités en termes d’action, d’ambiance, d’intrigue et de théâtralisation, si bien sûr l’univers s’y prête.
L’ouvrage
Le souci du détail et de la qualité est notre crédo. Il nous importe de bien décrire en profondeur un monde riche et passionnant. Notre objectif est que le lecteur puisse imaginer mille scénarios en parcourant le livre. Les lieux, les personnages, l’histoire, les religions, les territoires, les coutumes et les secrets de ce monde seront déclinés dans Insectopia le jeu de rôle.
Le livre que nous souhaitons édité est évalué à 300 pages, dans un format A4 en quadrichromie. Comme nous aimons notre jeu, de nombreuses illustrations couleurs de qualité professionnelles sont prévues dans cet ouvrage.
Les plus
D’ores et déjà prévu en suppléments, la carte du monde, l’écran du jeu, le sachet magique,
Le calendrier :
Septembre 2013 : Début de « l’invasion », l’insectopia tour
Mars 2015 : Sortie du livret de découverte gratuit en ligne, souscription Ulule
Septembre 2015 : Sortie du jeu en boutique
Le système de jeu développé pour Insectopia est novateur, proposant des variantes et conçu pour répondre aux différents modes de jeu des maîtres et joueurs.
Les personnages à incarner sont multiples.
Vingt races et dix huit métiers sont proposés aux joueurs les plus avides de variété.
La création des personnages prend en compte les spécificités des insectes, leur fonctionnement, leurs modes de vie et leurs relations. Les « pouvoirs » de chaque insectes sont traduits de façon opérationnelle dans les règles. Les compétences des joueurs sont diverses. Elles offrent les possibilités d’axer les scénarios sur de l’enquête, de l’intrigue ou de l’action.
Le système de simulation des actions et interactions est fluide et ludique.
Aucun dé ou carte n’est utilisé, mais le hasard intervient bien dans la résolution des actions. Un petit truc, ludique et très modulable vient agrémenter les parties de jeux et le suspens….
Le système de combat offre différentes possibilités.
Construit avec plusieurs niveaux d’utilisations, il permet une prise en main simple ou plus complète. Même si insectopia se veut un jeu d’intrigue, d’ambiance et d’enquête, une part belle est faite aux combats et à ses possibilités. C’est fabuleux d’avoir un monde complet et des scénarios de qualité, mais si on peut mettre un peu de combat épique au milieu c’est tout aussi bien..
La magie joue un rôle important dans Insectopia.
Six types de magies sont développés dans le jeu pour offrir de la diversité. Elles sont gérées par un système de résolution libre. Les joueurs conçoivent les sorts : leurs effets, leurs puissances et leurs formes au fil des scénarios et des situations.
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